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Les « natures mortes » dans «Le Ventre de Paris» d’Émile Zola

Lieux de rencontre entre littérature et peinture

de Beate Steinhauser (Auteur)
©2006 Thèses 164 Pages

Résumé

On sait ce qu’est une nature morte, et on sait ce qu’est Le Ventre de Paris, l’une appartenant à la peinture, l’autre à la littérature – des mondes diamétralement opposés. Or, en considérant les descriptions zoliennes des étalages bigarrés des Halles centrales sur le fond de la peinture de natures mortes au 19e siècle, le présent travail arrive à des conclusions bien différentes. Il montre, d’un côté, ce qu’un genre pictural devient sous la plume d’un écrivain et, de l’autre, comment le roman zolien se présente d’un point de vue pictural. Plaidoyers radicaux pour la revalorisation d’un genre de peinture, portraits implicites des personnages du roman – les « natures mortes » du Ventre de Paris enrichissent toute lecture de Zola.

Résumé des informations

Pages
164
Année
2006
ISBN (Broché)
9783631548028
Langue
français
Mots clés
Zola, Emile Le ventre de Paris Bildersprache Stillleben Stilleeben Nature morte Beziehung der Künste Interesthéticité
Published
Frankfurt am Main, Berlin, Bern, Bruxelles, New York, Oxford, Wien, 2006. 164 p., 48 ill. dont 26 en couleur

Notes biographiques

Beate Steinhauser (Auteur)

L’auteur : Beate Steinhauser, née en 1980 en Basse-Autriche, a étudié le français, l’anglais et l’italien à Salzbourg et à Oxford. Actuellement, elle travaille au sein d’un centre de collaboration interdisciplinaire et interuniversitaire entre les arts et les lettres à l’Université de Salzbourg.

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Titre: Les « natures mortes » dans «Le Ventre de Paris»  d’Émile Zola