Documents diplomatiques français
1940 – Tome I (1er janvier – 10 juillet)
©2005
Autres
LXXXII,
1005 Pages
Résumé
Du 1er janvier au 10 juillet 1940, la France en guerre traverse trois périodes distinctes.
Jusqu’à la fin de mars, la «drôle de guerre» continue. Les diplomates s’interrogent sur les possibilités d’un retour à la paix, sur une éventuelle offensive des armées allemandes, sur l’attitude de l’Italie et sur la guerre russo-finlandaise.
Puis, c’est le débarquement en Norvège qui occupe le devant de la scène. On tâche alors de renforcer la coopération franco-anglaise, on scrute les intentions des Scandinaves et des Soviétiques, sans perdre de vue les événements d’Extrême-Orient.
La date du 10 mai est décisive. Soudain, les Allemands attaquent, pénètrent en Belgique et enfoncent les armées françaises dans les jours suivants. À Paris, au sein du gouvernement, dans les réunions franco-britanniques, le débat fait rage: faut-il abandonner le combat? Respecter la parole donnée aux Anglais? Poursuivre la bataille ailleurs qu’en métropole? L’accession du maréchal Pétain à la présidence du Conseil annonce la fin des hésitations. Les armistices avec l’Allemagne et l’Italie sont signés. Peu après, l’affaire de Mers El Kébir entraîne la rupture avec la Grande-Bretagne. La France de Vichy est vaincue. Celle de Londres continue le combat.
Les dépêches et les télégrammes, les notes et les comptes rendus des diplomates d’alors, les documents qu’ils ont conservés nous plongent au cœur de ces semaines dramatiques qui ont profondément marqué notre mémoire nationale. L’histoire nous les fait revivre et comprendre. À lire ces textes, nous prenons conscience des espoirs et du désarroi, des grandeurs et des faiblesses, des courtes vues et de l’esprit visionnaire de ceux qui, en ces heures terribles, ont gouverné la France.
Jusqu’à la fin de mars, la «drôle de guerre» continue. Les diplomates s’interrogent sur les possibilités d’un retour à la paix, sur une éventuelle offensive des armées allemandes, sur l’attitude de l’Italie et sur la guerre russo-finlandaise.
Puis, c’est le débarquement en Norvège qui occupe le devant de la scène. On tâche alors de renforcer la coopération franco-anglaise, on scrute les intentions des Scandinaves et des Soviétiques, sans perdre de vue les événements d’Extrême-Orient.
La date du 10 mai est décisive. Soudain, les Allemands attaquent, pénètrent en Belgique et enfoncent les armées françaises dans les jours suivants. À Paris, au sein du gouvernement, dans les réunions franco-britanniques, le débat fait rage: faut-il abandonner le combat? Respecter la parole donnée aux Anglais? Poursuivre la bataille ailleurs qu’en métropole? L’accession du maréchal Pétain à la présidence du Conseil annonce la fin des hésitations. Les armistices avec l’Allemagne et l’Italie sont signés. Peu après, l’affaire de Mers El Kébir entraîne la rupture avec la Grande-Bretagne. La France de Vichy est vaincue. Celle de Londres continue le combat.
Les dépêches et les télégrammes, les notes et les comptes rendus des diplomates d’alors, les documents qu’ils ont conservés nous plongent au cœur de ces semaines dramatiques qui ont profondément marqué notre mémoire nationale. L’histoire nous les fait revivre et comprendre. À lire ces textes, nous prenons conscience des espoirs et du désarroi, des grandeurs et des faiblesses, des courtes vues et de l’esprit visionnaire de ceux qui, en ces heures terribles, ont gouverné la France.
Résumé des informations
- Pages
- LXXXII, 1005
- Année de publication
- 2005
- ISBN (Relié)
- 9789052012056
- Langue
- français
- Mots clés
- Guerre Paix Armée Armistice
- Publié
- Bruxelles, Bern, Berlin, Frankfurt am Main, New York, Oxford, Wien, 2004. LXXXII, 1005 p., nombr. tabl.
- Sécurité des produits
- Peter Lang Group AG