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L’acquisition des temps verbaux du passé chez les apprenants chinois du français langue étrangère

de Zhang Xingzi (Auteur)
©2024 Monographies X, 316 Pages

Résumé

Cette étude porte sur un corpus de récits écrits d’apprenants chinois du français première (FL2) et seconde langue étrangères (FL3) en milieu scolaire et de deux groupes témoins (locuteurs natifs du français et du chinois). Elle a trait à deux groupes d’apprenants de même L1 (le chinois) ayant des accès différents à la langue cible, le français (avec ou sans anglais L2). Les corpus témoins nous permettent de mieux comprendre comment le temps et l’aspect sont effectivement réalisés dans les langues maternelles respectives des locuteurs. Cet ouvrage vise à répondre aux questions suivantes : comment les apprenants chinois en FL2 et FL3 utilisent-ils les temps verbaux du passé à différents niveaux d’apprentissage ? Quels rôles jouent respectivement la L1 et la L2 dans l’apprentissage de la L3 ? L’analyse des données s’exerce sur les plans sémantique (l’hypothèse de l’aspect, Andersen & Shirai 1994) et fonctionnel (l’hypothèse du discours, Hopper 1979).

Table des matières

  • Couverture
  • Titre
  • Copyright
  • À propos de l’auteur
  • À propos du livre
  • Pour référencer cet eBook
  • Contents
  • Liste des figures et tableaux
  • Introduction
  • Acquisition d’une langue étrangère (LE) et contexte d’enseignement
  • Types de procès, temps et aspect
  • Temps verbaux du passé en français
  • Acquisition de la temporalité en langue étrangère et la temporalité en anglais et en chinois: l’expression du passé
  • Méthodologie et recueil de données
  • Groupe de Chinois natifs L1
  • Groupe de Français natifs L1
  • Analyse du récit de film : niveau débutant
  • Analyse du récit de film : niveau intermédiaire
  • Discussion et conclusion générale
  • Index 1
  • Index 2

Introduction

La présente étude procède d’un constat empirique relatif aux apprenants chinois du français langue étrangère. En français, les temps verbaux, surtout les temps verbaux du passé, représentent de grandes difficultés d’apprentissage, à propos de l’acquisition d’une langue étrangère très éloignée typologiquement de la langue chinoise. Cet ouvrage aborde un thème peu traité dans l’étude de l’acquisition de la temporalité : les différences et les ressemblances entre l’acquisition du français comme langue seconde (dorénavant : L2) et langue troisième (dorénavant : L3). Elle porte plus précisément sur trois langues: une langue romane, le français, une langue germanique, l’anglais - appartenant toutes deux à la famille indo-européenne - et la langue maternelle des apprenants (langue première, dorénavant : L1), typologiquement non apparentée aux deux premières, le chinois1. Il s’agit d’étudier comment des locuteurs chinois apprenant le français (comme L2 et comme L3) emploient les temps verbaux qui relèvent d’un système linguistique entièrement différent. Pour les apprenants trilingues, quels sont les rôles respectifs de leur L1 et de leur L2 dans l’apprentissage de la L3 ? L’anglais L2, qui est typologiquement proche du français L3, a-t-il plus d’influence que la L1 dans le processus d’acquisition ? Telles sont les questions qui constituent le point de départ de ce travail.

Le chinois est une langue qui ne possède pas de désinences verbales. L’expression du temps repose sur les adverbes, les locutions adverbiales ou le contexte discursif. Le chinois ne possède pas de moyens grammaticaux pour exprimer le temps. Il s’agit d’une langue aspectuelle, mais l’aspect est exprimé par des mots grammaticaux, comme les marqueurs aspectuels, tels que le postverbal « -le », le suffixe d’expérience « -guo », le suffixe duratif « -zhe », etc. Mais ces marqueurs aspectuels sont facultatifs, ils ne suivent pas les verbes systématiquement. C’est sur ce point en particulier que le chinois est typologiquement différent du français, qui possède une morphologie verbale variée exprimant à la fois les valeurs temporelles et aspectuelles. L’anglais, langue germanique, dispose d’une morphologie verbale moins riche que celle du français, et les distinctions aspectuelles ne reposent pas sur les mêmes faits de langue.

Nous cherchons donc à examiner comment les apprenants chinois utilisent les temps verbaux du passé afin de construire leur discours en langue cible (le français). Cette étude ne se concentre pas seulement sur le processus d’acquisition des temps verbaux d’une L2, mais considère également celui d’une L3 : on analyse en quoi les deux processus d’acquisition diffèrent (ou non). Pour cela on se base sur la production écrite d’un récit : le récit écrit de deux extraits d’un film de Chaplin, Les Temps modernes. Le corpus comporte des productions d’apprenants chinois en français langue seconde (dorénavant : FL2) et français langue troisième (dorénavant : FL3) ayant appris l’anglais comme L2, de niveau débutant et de niveau intermédiaire. Nous avons aussi constitué deux groupes témoins : des locuteurs natifs du chinois et du français, ayant respectivement le chinois et le français pour langue maternelle.

Nous étudions et comparons tout d’abord les façons dont les locuteurs natifs du chinois et du français utilisent les moyens linguistiques de leur langue maternelle pour exprimer les relations complexes, temporelles et aspectuelles, dans des récits basés sur le même support. Ces corpus témoins nous permettent de mieux comprendre comment le temps et l’aspect sont effectivement réalisés dans les langues maternelles respectives des locuteurs. La mise en regard des récits des apprenants du français langue étrangère ainsi que des natifs du chinois s’appuie sur le même support, ce qui nous permet de les comparer et de mieux comprendre le rôle de la L1. Alors que les résultats obtenus entre les réalisations des apprenants FL2 et FL3, selon qu’ils diffèrent ou non, montrent le degré d’influence de la L2 anglais sur l’acquisition de la L3.

Nous chercherons donc à répondre aux questions suivantes :

  • • Comment l’information temporelle-aspectuelle est-elle organisée et exprimée par les natifs du chinois et du français? Quelles sont les différences à cet égard entre ces deux langues typologiquement éloignées ?
  • • Les apprenants chinois confèrent-ils dans l’acquisition du français les mêmes fonctions aux mêmes formes que les Français natifs? Utilisent-ils la conceptualisation du temps et de l’aspect propre à la langue cible (le français) ou bien conservent-ils la conceptualisation propre à leur langue maternelle (le chinois)?
  • • Quel est le rôle joué par les langues sources (L1 chinois et L2 anglais) dans l’acquisition de la L3 (français)? La L1 chinois, a-t-elle le même statut dans l’acquisition de FL2 et de FL3 ? La L2 anglais, qui est typologiquement proche de la L3, a-t-elle plus d’influence que la L1 dans l’acquisition de la L3 ? Facilite-t-elle l’acquisition de la L3 ?
  • • Du niveau débutant au niveau intermédiaire, comment l’emploi des temps verbaux du passé évolue-t-il chez les apprenants FL2 et FL3? Y aurait-il un parcours en commun du développement de l’emploi des temps verbaux du passé pour les apprenants FL2 et FL3 ? Les résultats de notre étude sur l’emploi des temps verbaux du passé sont-ils similaires aux résultats obtenus par Sun (2006) dont l’étude est basée sur la production orale des apprenants chinois ?

Cet ouvrage comporte quatre grandes parties. Dans la première partie, nous abordons le contexte sociolinguistique de l’enseignement du français et de l’anglais en Chine et les facteurs qui affectent l’acquisition d’une langue étrangère. Dans la deuxième partie, nous présentons le cadre théorique et la méthodologie de notre étude. Dans la troisième partie, nous analysons le corpus que nous avons établi. La dernière partie est consacrée à une discussion des résultats que nous avons obtenus à l’issue de la comparaison des deux groupes FL2 et FL3 à la lumière des travaux réalisés par d’autres chercheurs.

La première partie (Introduction générale et chapitre 1) présente l’évolution de l’enseignement du français et de l’anglais en Chine, et les facteurs possibles d’influence de l’acquisition de la L2 sur celle de la L3.

La deuxième partie (Chapitre 2, 3, 4 et 5 : Cadre théorique et méthodologie) débute par une présentation théorique des notions de temps, d’aspect et des types de procès : nous clarifions celles que nous utilisons dans cet ouvrage. En deuxième lieu, nous analysons les temps verbaux du passé en français du point de vue des valeurs temporelles, aspectuelles et de l’interaction avec les différents types de procès. Puis, nous présentons les recherches antérieures portant sur l’acquisition de la temporalité en français L2 et en français L3. Par ailleurs, nous examinons les expressions du passé en anglais et en chinois, et les comparons à celle en français. La partie relative à la méthodologie expose le support, les conditions de recueil des données et les profils des locuteurs, ainsi que le contexte d’apprentissage du français.

La troisième partie (Chapitre 6, 7, 8, 9 : Analyse des données) présente les analyses des récits écrits par les natifs chinois et français (en langue maternelle) et aussi par les apprenants chinois FL2 et FL3 (en langue cible : le français) de différents niveaux de compétence linguistique.

La quatrième partie (Chapitre 10 : Discussion et Conclusion) présente les différences relatives à l’expression du passé dans les récits des natifs chinois et français. Puis, nous résumons les résultats s’agissant de l’emploi des temps verbaux du passé apprenants FL2 et FL3. Nous analysons également les similitudes et les influences éventuelles de la L1 et de la L2 en rapprochant nos données de celles aux Chinois natifs. Enfin, nous mettons nos résultats en regard des résultats obtenus par d’autres chercheurs en matière d’acquisition des temps du passé.


1 Ici, on indique le mandarin.

Bibliographie

·1· Acquisition d’une langue étrangère (LE)1 et contexte d’enseignement

1.1 Acquisition d’une L2 ou d’une langue supplémentaire?

Les recherches sur l’influence interlinguistique dans l’acquisition d’une langue étrangère (LE) ont été principalement consacrées jusqu’ici à l’influence de la langue première (L1) sur l’acquisition d’une langue seconde (L2). L’expression acquisition d’une deuxième langue est souvent utilisée dans un sens large. Il s’agit d’une langue étrangère, apprise après la langue maternelle. Les recherches relatives à l’apprentissage des langues étrangères portent le plus souvent sur la L2 et, quand l’apprenant peut en acquérir une ou plusieurs autres, les modalités d’apprentissage de ces langues supplémentaires sont étudiées dans le même cadre théorique et avec les mêmes outils que celles de la L2. La plupart des travaux sur l’acquisition de la langue ne vont pas au-delà de la L2, ce qui implique que notre compréhension du processus d’appropriation des LE est incomplète. Quant aux travaux relatifs à l’acquisition d’une langue autre que la L2, ils présupposent le plus souvent que le processus d’acquisition de cette langue étrangère est similaire à celui de la L2. C’est le cas de Singh & Carroll (1979), pour qui apprendre une L3 revient à apprendre une autre L2. Mitchell & Myles (1998) estiment eux aussi que le processus d’acquisition d’une L2 et celui d’une LE sont essentiellement les mêmes. De Angelis (2007) cherche à rendre compte des raisons pour lesquelles l’acquisition d’une L2 est considérée comme identique à celle d’une langue supplémentaire. Elle note d’abord que nous disposons de très peu de recherches sur les processus d’acquisition multilingues ou sur la comparaison systématique entre les apprenants qui possèdent ou pas une connaissance préalable d’une autre ou d’autres langue(s) non-native(s). Les chercheurs ont donc rencontré des difficultés à identifier les influences des langues préalablement maîtrisées. Ensuite, dans le domaine de l’acquisition d’une langue seconde, les apprenants sont souvent identifiés comme apprenants L2, même ceux qui étudient une troisième langue ou une langue supplémentaire. Les chercheurs concernés présupposent ainsi que la connaissance préalable d’une autre langue étrangère n’exerce pas d’influence sur les résultats de leurs recherches. La connaissance de base d’une langue non native est généralement ignorée.

Cependant, pour certains chercheurs qui étudient l’acquisition d’une L3, le fait de distinguer entre l’acquisition d’une L2 et l’acquisition d’une langue supplémentaire ne suffit pas à rendre compte de la situation réelle de certains locuteurs. Des études ont montré que des langues non-maternelles déjà maîtrisées peuvent, au même titre que la langue maternelle, devenir facteurs d’influence lors de l’acquisition d’une nouvelle langue (Sikogurika 1993, Cenoz 2001, Dewaele 2001, Hammarberg 2001, Singleton & O’Laoire 2006, De Angelis 2007). Aujourd’hui, des chercheurs portent un intérêt croissant à l’influence des langues apprises, par opposition à la langue maternelle, sur l’acquisition d’une langue supplémentaire.

À l’époque des migrations et avec le développement de la communication internationale, l’acquisition des langues étrangères est devenue plus courante et le multilinguisme est la norme plutôt que l’exception. De nombreuses personnes pensent que l’apprentissage de plus de deux langues est nécessaire. Comme l’ont souligné Aronin et Hufeisen (2009), les travaux se concentrent sur le multilinguisme qui s’est développé à la fin des années 1980 et au début des années 1990. C’est à ce moment-là que les chercheurs ont commencé à travailler à partir de différentes perspectives théoriques en réétudiant, à l’aide de données à la fois orales et écrites relatives au multilinguisme, les questions les plus fréquemment posées au sujet de l’acquisition de la langue seconde (L2). A partir des années 1980, les linguistes ont commencé à traiter l’acquisition trilingue (ou multilingue) comme un domaine d’intérêt en soi. Håkan Ringbom est l’un des créateurs de la perspective translinguistique dans le domaine de l’acquisition d’une L3. Il a commencé à explorer les influences du suédois et du finnois sur l’anglais L3 (Ringbom 1986). Les travaux antérieurs font apparaître que l’anglais est la L3 la plus fréquemment étudiée (Cenoz & Jessner 2000). Mais d’autres L3 sont également prises en compte, notamment le suédois (Williams & Hammarberg 1998, Hammarberg 2001), le français (Singleton 1987, Dewaele 2001, Leung 2005, Singleton & O’Laoire 2006, Lindqvist 2009), le chinois (Ranong & Leung 2009) et l’italien (De Angelis 2005, Bardel & Lindqvist 2007), etc.

1.2 Différences entre l’acquisition de la L2 et l’acquisition de la L3

Il est vrai que l’acquisition de la L2 et celle de la L3 partagent beaucoup de points en commun, mais présentent aussi des différences importantes. L’acquisition d’une troisième langue est un processus complexe dans lequel les connaissances linguistiques des premières et deuxièmes langues acquises par l’apprenant peuvent intervenir. En outre, en raison de leur expérience linguistique, les apprenants multilingues possèdent une plus grande flexibilité cognitive et une conscience linguistique plus aiguë que les apprenants monolingues. Comme l’indiquent Cenoz et al. (2001 : 2), au moment où l’apprenant acquiert une troisième langue, deux autres relations bidirectionnelles peuvent apparaître : d’une part, la L3 peut influencer la L1 et en subir l’influence (L1 - L3), d’autre part des influences linguistiques réciproques peuvent s’instaurer entre la L2 et la L3.

En outre, dans un certain sens, certaines conditions d’acquisition de la L3 sont différentes de celles de la L2. En effet, l’apprenant a déjà acquis l’expérience de l’apprentissage d’une langue étrangère quand il apprend une L3, ce qui crée une situation différente par rapport à l’acquisition de la L2, où l’apprenant a uniquement l’expérience de l’acquisition de sa langue maternelle, immensément marquante pour le sujet, certes, mais totalement hors d’atteinte des phénomènes conscients. Williams & Hammarberg (1998) remarquent à cet égard que la L1 et la L2 revêtent différentes fonctions. Une seule langue peut influer sur la L2. Mais dans l’acquisition d’une L3, deux supports existent pour son acquisition. Cenoz & Jessner (2000 : ix) montrent que les apprenants de la L3 font usage de stratégies plus nombreuses et possèdent un degré de conscience linguistique plus élevé. Ceci est dû à l’expérience de l’acquisition de la L2, qui facilite l’acquisition de la L3 pour les apprenants.

L’ordre d’acquisition est également décisif pour différencier l’acquisition de la L2 de celle de la L3. L’acquisition d’une L2 peut se faire de deux manières : soit elle est postérieure à l’acquisition de la L1, soit les deux acquisitions sont simultanées. A quoi s’ajoutent d’autres combinaisons dans le processus d’acquisition de la L3. Selon Cenoz (2000:40), la L1, la L2 et la L3 peuvent être acquises successivement (L1-L2-L3) ou bien simultanément (L1/L2/L3). De plus, la L1 et la L2 peuvent être acquises simultanément, à la suite de quoi l’apprenant acquiert la L3 (L1/L2-L3), ou bien la L2 et la L3 sont apprises simultanément après la L1 (L1-L2/L3).

D’après les indications ci-dessus, il est clair que l’acquisition de la L3 diffère de celle de la L2 et elle est soumise à davantage d’influences langagières. Nous présenterons ensuite quelques facteurs importants propres à l’acquisition de la L3.

1.3 Quelques facteurs importants influençant l’acquisition de la L3

Pour mieux comprendre comment la L1 et la L2 fonctionnent dans l’acquisition de la L3, il est nécessaire de connaître les caractéristiques d’un apprenant de L2. Les recherches dans le domaine de l’acquisition d’une L3 montrent que pour une analyse appropriée de ces phénomènes et une meilleure détermination sur le rôle des langues sources, il faut prendre en considération différents facteurs. Nous présenterons les facteurs les plus déterminants:

  1. 1) la typologie (et psycho-typologie)

des langues concernées (Bardel 2006; Cenoz, 2001). La typologie est un facteur important pour déterminer la source d’un transfert linguistique. Si la L2 est typologiquement plus proche de la L3 que de la L1, elle a tendance à devenir une source d’influence plus importante que la L1. De Angelis (2007: 22) a ainsi caractérisé la distance typologique : « the distance that a linguist can objectively and formally define and identify between languages and language families » [La distance qu’un linguiste peut objectivement et formellement définir et identifier entre les langues et les familles de langues]. Les premières études soulignent l’importance de la proximité typologique entre la L1 et la L2 (Weinreich, 1953). Plus tard, Kellerman (1983) indique que l’influence de la L2 de l’apprenant sur l’acquisition de la L3 est d’autant plus importante que les apprenants considèrent leur L2 typologiquement plus proche de leur L3. Cela se produit souvent pour les apprenants ayant des langues non-européennes comme L1, par exemple, les apprenants d’Asie qui apprennent l’anglais puis le français, notamment en ce qui concerne le lexique (Ringbom 2001).

Résumé des informations

Pages
X, 316
Année
2024
ISBN (PDF)
9781636676524
ISBN (ePUB)
9781636676531
ISBN (Relié)
9781433197680
DOI
10.3726/b21206
Langue
français
Date de parution
2024 (Mars)
Mots clés
français langue étrangère récit écrit apprenant chinois acquisition du langage temps verbaux du passé L’acquisition des temps verbaux du passé chez les apprenants chinois du français langue étrangère ZHANG Xingzi
Published
New York, Berlin, Bruxelles, Chennai, Lausanne, Oxford, 2024. X, 316 pp. 2 b/w ill., 39 b/w tables.

Notes biographiques

Zhang Xingzi (Auteur)

Maître de conférences à l’Université des études internationales de Beijing, docteur de l’Université Sorbonne Nouvelle, Zhang Xingzi s’intéresse à l’acquisition du français langue étrangère, à l’analyse contrastive entre le chinois et le français, et à la temporalité en chinois et en français.

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