Comparatio delectat II
Akten der VII. Internationalen Arbeitstagung zum romanisch-deutschen und innerromanischen Sprachvergleich- Innsbruck, 6.–8. September 2012 – 2 Bände
Summary
Excerpt
Table Of Contents
- Cover
- Titel
- Copyright
- Autorenangaben
- Über das Buch
- Zitierfähigkeit des eBooks
- Inhalt
- Vorwort
- Band 1
- I. Kontrastive Semantik
- Versteckte Modalität in romanischen Sprachen und ihre Entsprechungen im Deutschen
- 1. Modalität und ihr overter und coverter Ausdruck
- 2. Coverter Ausdruck von Modalität und Evidentialität im Deutschen und in romanischen Sprachen
- 2.1. Beispiel 1: hinter deontischen Modalverben versteckte Evidentialität
- 2.2. Beispiel 2: indikativische Verbformen als Ausdruck von Modalität
- 2.3. Beispiel 3: Modalpartikeln und ihre Auslassung
- 3. Ein Kontinuum overter und coverter Modalisierung
- Bibliographie
- Korpora:
- Bibliographische Angaben
- Aspetti semantici e pragmatici della costruzione causativa in italiano e in tedesco
- 1. Il concetto di causatività
- 2. La costruzione causativa infinitiva in italiano e in tedesco
- 2.1. La forma
- 2.2. L’estensione semantico-funzionale
- A) causatività “manipolativa”
- B) causatività “interpersonale”
- B1) “direttiva”
- B2) “permissiva”
- C) causatività “impersonale”
- D) causatività “cognitiva”
- E) causatività “consenziente”
- 3. Aspetti pragmatici
- 3.1. La frequenza d’uso
- 3.2. Aspetti lessicali
- 3.3. La funzione pragmatica
- 4. Conclusioni
- Corpus base
- Corpus aggiuntivo
- Bibliografia
- Relations spatiales et temporelles exprimées par les compléments de l’adjectif et de l’adverbe en français et en roumain
- 1. Introduction
- 2. Les GAdj S/T
- 2.1. Le CAdj S/T– syntaxe et sémantique
- 2.2. Rapports spatiaux
- I. Position dans l’espace en fonction d’un repère
- A) Position « géométrique » par rapport à une ligne ou à une surface, dans une vision statique ou dynamique.
- a) position parallèle
- b) position perpendiculaire
- c) position oblique
- B) Organisationspatiale selon certains axes à double polarité.Nous avons distingué cinq axes sémantiques :
- a) horizontalité vs verticalité
- b) antériorité vs postériorité spatiale
- c) supériorité vs infériorité spatiale
- d) centralité vs latéralité
- e) intériorité vs extériorité
- C) Position ± distance par rapport à une surface
- II. Extensionnalité :identité extensionnelle de deux entités (situation spatiale ou vision spatialisée)
- III. La distance entre la cible et le repère
- A) proximité (sans contact) vs éloignement. Le couple cible-repère peut se situer dans un espace concret ou bien dans un espace abstrait (vision spatialisée).
- a) proximité sans contact entre la cible et le repère (distance minimale)
- b) éloignement
- B) Proximité avec contact entre la cible et le repère.
- 2.3. Rapports temporels
- A) Simultanéité (ou concomitance).La relation temporelle peut être glosée par : « en même temps que ».
- B) Antériorité (priorité).
- C) Postériorité (succession, ultériorité).
- 3. Les GAdv S/T
- 3.1. Le CAdv S/T– syntaxe et sémantique
- 3.2. Rapports spatiaux
- I. Position
- A) Position « géométrique »
- a) position parallèle
- b) position perpendiculaire
- c) position oblique
- B) Organisation spatiale selon certains axes à double polarité
- a) horizontalité vs verticalité
- b) antériorité vs postériorité spatiale
- c) supériorité vs infériorité
- d) centralité vs latéralité
- e) intériorité vs extériorité
- C) Position ± distance par rapport à une surface
- II. Distance
- A) proximité (sans contact) vs éloignement; les structures adverbiales citées ci-dessous appartiennent au domaine de l’anatomie.
- B) Proximité + contact entre la cible et le repère.
- 3.3. Rapports temporels
- A) Simultanéité (concomitance) : « en même temps que ».
- B) Antériorité (priorité) : « avant ».
- C) Postériorité (succession, ultériorité) : « après », « à la suite de ».
- 4. Conclusion
- Bibliographie
- Le SNdém mémoriel en français et en néerlandais. Indices de divergences contrastives
- 1. Introduction
- 2. Caractéristiques générales du SNdém mémoriel
- 3. Étude de corpus comparables et parallèles L1
- 4. Étudesémantique du SN démonstratif mémoriel en français et en néerlandais
- 5. Étudede corpus L2
- 6. Conclusion
- Bibliographie
- Zur pragmatisch-semantischen Extension des deutschen Pronomens wo im Kontrast zum französischen où und spanischen donde
- 1. Untersuchungsgegenstand und methodisches Vorgehen
- 2. Zur Wortartenbestimmung von wo, où und donde
- 3. Der standardsprachliche Gebrauch
- 4. Der nicht-standardsprachliche oder substandardssprachliche Gebrauch
- 5. Fazit
- Bibliographie
- Korpora
- La gramaticalización del pronombre dativo le como intensificador verbal en el español mexicano
- 1. Introducción
- 2. Le como intensificador
- 3. Diferencia entre le intensificador y se de la voz media
- 4. Entre la derivación y la flexión
- 5. Desarrollo del le intensificador
- 6. El le intensificador y la teoría de la gramaticalización
- 7. Entre afijo y clítico. La coalescencia en palabras
- 8. Consideraciones finales
- Bibliografía
- II. Kontrastive Lexikologie
- Die Sprache der Finanzkrise Italienisch-Deutsch kontrastiv
- 1. Einleitung
- 2. Die Finanzkrise als wirtschaftshistorischer Kontext
- 3. Die Phasen der Entwicklung des Krisendiskurses
- 4. Die Benennung des Neuen: Neologismen und neue metaphorische Komposita kontrastiv Italienisch – Deutsch
- 5. Wahrnehmungsverweigerung und Verschleierung: Euphemismen und Bedeutungswandel
- 6. Bedeutungswandelprozesse in der zweiten Phase des Krisendiskurses
- 7. Pragmalinguistische Aspekte des Krisendiskurses: Dysphemismen und Fahnenwörter
- 8. Schlussüberlegungen
- Bibliographie
- Quellen der Beispiele
- Mutations lexicales romanes : esquisito, bizarro et comprido
- 1. Introduction
- 2. Sources lexicographiques
- 3. Adjectifs cognats dans différentes langues romanes
- 4. Esquisito
- 5. Bizarro
- 6. Comprido
- 7. Conclusion
- Bibliographie
- Sources lexicographiques
- Riecht der Franzose gleich wie der Deutsche?
- 1. Einführung
- 2. Sentir und riechen: unähnliche Geschwister
- 3. Geruch und odeur: eine vielsagende Morphologie
- 4. Ableitungen von riechen und odeur
- 5. Schluss
- Bibliographie
- La couleur des sentiments dans le figement sémantico-lexical et discursif
- 1. Niveaux de projection et construction du sens du figement
- 2. Des sentiments et des couleurs, il ne faut pas disputer !
- 3. La couleur du figement affirme ses sentiments
- 4. Mécanismes et fonctionnement
- 4.1. Mécanismes sémantico-syntaxiques
- 4.2. Mécanismes sémantico-discursifs
- 5. Conclusion
- Annexe
- Bibliographie
- Traverser la Suède ou Voler à travers la Suède : Étude sur l’expression de la « manière » du déplacement dans deux traductions françaises d’un roman suédois
- 1. Introduction
- 2. Études antérieures
- 2.1. Définition de la notion de « manière »
- 2.2. « Habitual narrative style » dans les langues germaniques et dans les langues romanes
- 2.3. Moyens de rendre la « manièrede se déplacer » en français
- 2.3.1. La manière est rendue par un complément adverbial
- 2.3.2. La manière est rendue par le verbe
- 3. Méthode et données
- 4. Résultats et discussion
- 5. Conclusion
- Bibliographie
- Sources informatisées
- Texte original et traductions
- Les verbes de l’influence émotionnelle positive en français et en allemand
- 1. Le groupe des verbes de l’influence émotionnelle comme sous-classe des verbes d’émotion
- 2. La causalité comme critère essentiel des verbes de l’influence émotionnelle positive
- 2.1. La caractéristique sémantique des constructions à VIEP
- 2.2. L’ analyse de la structure de la construction causative avec VIEP
- 3. Analyse lexico-sémantique des verbes de l’influence émotionnelle positive
- 4 . Conclusions
- Bibliographie
- Corpus
- A la cabeza – a la cola: Ranking-Metaphern in der spanischen und italienischen Wirtschaftssprache
- 1. Einleitung: die „mittlere Schicht“
- 2. Fachliteratur zur Metaphorik in der Wirtschaftskommunikation
- 3. Die Struktur des konzeptuellen Feldes „Ranking“
- 4. Ranking-Metaphern in Italienisch und Spanisch
- 5. Zusammenfassung der Ergebnisse
- 6. Ausblick
- Bibliographie
- Konsultierte Online-Wörterbücher
- Le discours gastronomique en français et en allemand : complexité des désignations et des groupes nominaux
- 1. Introduction: objectifs et corpus
- 2. Désignations dans les cartes de restaurants allemands
- 2.1. Formule « étendue »
- 2.1.1. GNx
- 2.1.2. GN1
- 2.2. Formule « réduite »
- 2.3. Désignations« à double niveau »
- 3. Désignations dans les cartes de restaurant français
- 3.1. Formule« étendue »
- 3.1.1. GNx
- 3.1.2. GN1
- 3.2. Formule « réduite »
- 3.3. Désignations« à double niveau »
- 4. Conclusion
- Bibliographie
- Trumm versus Trumeau:Von der massigen Frau zum eleganten Wandspiegel. Parallele Entwicklungen französisch-deutscher Wortdubletten unter besonderer Berücksichtigung des (ost-)österreichischen Raumes
- 1. Einleitung
- 2. Trumeau
- 2.1. Herkunft und Entwicklung von Trumeau im Französischen
- 2.2. Entwicklung des Etymons drumim Deutschen
- 2.3. Trumeau in Ostösterreich
- 2.4. Trumeau im Italienischen
- 2.5. Trumeau/Trumm:Zusammenfassung
- 3. Store(s)
- 4. Rouletten
- 5. Zusammenfassung
- Bibliographie
- Primärliteratur
- Sekundärliteratur, Wörterbücher und Nachschlagewerke
- „Parli turco“ / „Me suena a chino“ / „Das kommt mir spanisch vor“ – Nationalitätsbezeichnungen im Sprachvergleich: Einige Überlegungen
- 1. Einleitung
- 2. Konstruktionsgrammatik und die Darstellung des Lexikon-Syntax-Kontinuumsanhand des Idioms parlare turco
- 3. Komparative Idiome Italienisch – Spanisch
- 3.1. Italienische Idiome der wie-Konstruktion + Nationalitätsbezeichnung
- 3.2. Spanische Idiome der wie-Konstruktion + Nationalitätsbezeichnung
- 4. Überprüfung der Nationalitätsidiome an L2-Lernenden
- 4.1. Inhalt und Aufbau der Testreihe
- 4.1.1. Deutsche Idiome bei italophonen Lernenden
- 4.1.2. Spanische Idiome bei deutschsprachigen Lernenden
- 4.1.3. Das Testverfahren: Ablauf und Informanten
- 4.2. Vorläufige Tendenzen am Beispiel einiger Wendungen
- 4.2.1. Resultate Italienisch L1-Deutsch L2
- 4.2.2. Resultate Deutsch L1-Spanisch L2
- 4.3. Vorläufige Tendenzen
- 5. Zusammenfassung und Fazit
- Bibliographie
- Du prénom au petit nom : Approche contrastive de la fonction et de la valeur du petit nom en portugais et en néerlandais
- 1. Introduction
- 2. Questions de nomenclature et de définition
- 3. Assemblage des données et procès de création du petitnom en portugais et en néerlandais
- 4. Approche contrastive de la fonction et du statut du petit-nom en portugais et en néerlandais
- 5. Réflexions finales
- Bibliographie
- „Mangiagatti/Magnagati“ und „Katzenfresser“ im Vergleich – Zu Spottnamen zwischen Oberitalien und Deutschland
- 1. Zur Themenstellung
- 2. Von trentinischen Spottnamen zu den Veneziani gran signori … Vesentini magnagati … und deren Rezeption
- 3. Spottnamen aus dem deutschsprachigen Bereich
- 4. Katzenfresserappellativisch, wörtlich genommen und als Nicknames
- 5. Schlussannahmen
- 6. Exkurs zur Terminologie
- Bibliographie
- III. Kontrastive Morphologie
- Syncrétisme des formes verbales et des clitiques sujets dans plusieurs variétés romanes vernaculaires et en français standard
- 1. Introduction
- 2. Systèmes à paradigme partiel
- 2.1 Système à un seul clitique : Bonifacio
- 2.2 Systèmes à deux ou trois clitiques (Haute Roya)
- 3. Systèmes à paradigme complet de clitiques sujet
- 3.1 Structure des paradigmes
- 3.2 Omission éventuelle du clitique
- 3.2.1. Piémontais
- 3.2.2. Français standard
- 3.2.3. Occitan de Chiomonte et des Ramats
- 4. Synthèse
- 5. Conclusion
- Bibliographie
- La typologie dérivationnelle des noms d’action en ancien français et en ancien allemand
- 1. Introduction
- 2. La catégorie des noms d’action dans le paradigme dérivationnel à partir d’une base verbale
- 3. L’infinitif substantivéen ancien français et en ancien allemand
- 4.1. La caractéristique morphologique de l’infinitif substantivé en ancien français et ancien allemand
- 4.2. Les particularités syntaxiques des infinitifs substantivés
- Bibliographie
- Corpus
- Dictionnaires
- Kollokative und phrasemische Strukturen in deutschen vs. französischen Web-Adressen
- 1. Relevanz von Web-Adressen
- 2. Domain-Morphologie
- 3. Typen verfestigter Kombinationen
- 3.1. Herkunftsbereiche
- 3.2. Detailbetrachtungen
- 3.3. Spezialverfahren
- 4. Beobachtungen und Hypothesen
- 5. Schlussbemerkungen und Ausblick
- Bibliographie
- IV. Kontrastive Pragmatik
- Intonationsverläufe im Deutschen und Italienischen
- 1. Einleitung
- 2. Grundlagen
- 3. Datenund Methode
- 4. Vergleich Deutsch-Italienisch
- 4.1. Früher Gipfel im Synchronsprecher-Korpus
- 4.2 Später Gipfel mit tiefem Grenzton im Regionale-Varietäten-Korpus
- 5. Schluss und Ausblick
- Bibliographie
- Kontrastive Pragmatik französischer, italienischer und spanischer SMS: Ein empirischer Vergleich von Eröffnungs- und Beendigungssequenzen
- 1. Einleitung
- 2. Die Motivation für die wissenschaftliche Beschäftigung mit SMS
- 3. Das Korpus und die Auswertungsmethode
- 4. Kommunikative Parameter von SMS
- 5. Kommunikative Funktionen von SMS
- 6. Das Anredeverhalten in SMS
- 6.1. Das französische Teilkorpus
- 6.1.1. Eröffnungssequenzen
- 6.2.2. Beendigungssequenzen
- 6.2. Das italienische Teilkorpus
- 6.2.1. Eröffnungssequenzen
- 6.2.2. Beendigungssequenzen
- 6.3. Das spanische Teilkorpus
- 6.3.1. Eröffnungssequenzen
- 6.3.2. Beendigungssequenzen
- 7. Zusammenfassung und Ausblick
- Bibliographie
- Topologie contrastive des particules de démodulation. Comparaison de l’allemand et du français
- 1. Introduction
- 2. Cadre théorique : particules de démodulation et topologie
- 3. Questions de recherche
- 3.1. Topologie contrastive
- 3.2. Particules hors du champ médial en allemand
- 4. Analyse de corpus
- 4.1. Aspects méthodologiques
- 4.2. Énoncés affirmatifs
- 4.3. Énoncés interrogatifs: interrogation partielle
- 4.4. Énoncés interrogatifs: interrogation totale
- 4.5. Énoncés injonctifs
- 4.6. Énoncés désidératifs irréels
- 5. Conclusion
- Bibliographie
- Band 2
- V. Kontrastive Syntax
- Reflexivkonstruktionen in romanischen und germanischen Sprachen
- 1. Vorbemerkung
- 2. In medias res
- 3. Berührte Gebiete
- 4. Klassifikation und Terminologie
- 5. Sprachvergleich synchron: Typologie und Charakteristik
- 6. Sprachvergleich diachron: Sprachkontaktforschung
- 7. Varietätenlinguistik
- 8. Sprachgeschichte
- 9. Ausblick
- Bibliographie
- Eigene Vorarbeiten
- Sonstige Literatur (in Auswahl)
- Warum in der Romania im Gegensatz zur Germania verneinte Quantoren nicht „schweben“ und die Verneinung keine Skopusinversion aufweist
- 1. Einleitung
- 1.1. Verneinte schwebende Quantoren
- 1.2. Skopusinversion der Verneinung
- 1.3. Theoretische Grundlagen
- 1.3.1. Die Strandungstheorie der schwebenden Quantoren
- 1.3.2. Die Satzverneinungstheorie von Zeijlstra (2004)
- 1.3.3. Die Strandung eines Konstituentenverneinungsmarkierers
- 2. Warum verneinte Quantoren in der Romana nicht „schweben“
- 3. Warumin der Germania die Negation Skopusinversion aufweisen kann, während dies in der Romana problematisch ist
- 4. Zusammenfassung
- Bibliographie
- La mise en relief d’un constituant d’énoncé en roumain et en français
- 0. Introduction
- 1. Les éléments du message
- 2. Les stratégies de mise en relief illustrées à partir d’un exemple
- Mise en relief du sujet
- Mise en relief du complément d’objet
- Mise en relief du verbe
- Mise en relief du pronom personnel
- Mise en relief du démonstratif
- Mise en relief du possesseur (en français)
- Mise en relief du nom possédé (en roumain)
- 3. Conclusion
- Bibliographie
- Das Gerundium im Italienischen und Spanischen. Ein syntaktischer Vergleich mit Ausblick auf das Ladinische
- 1. Einleitung
- 2. Die herkömmliche Meinung über die Gerundien
- 3. Die syntaktischen Funktionen der Gerundien im Italienischen und Spanischen
- 3.1. Beschreibung
- 3.2. Diachrone Erklärung
- 3.3 Abschließende Bemerkungen zum spanisch-italienischen Vergleich
- 4. Das ladinische Gerundium zwischen prädikativer Funktion und Grammatikalisierung
- 4.1. Der Gebrauch des Gerundiums im (nördlichen) Ladinischen
- 5. Zusammenfassung
- Bibliographie
- Zitierte Texte
- Sekundärliteratur
- Infinitivnominalisierungen von psychischen Verben im Deutschen und Rumänischen
- 1. Theoretische Überlegungen
- 1.1. Deutsche Untersuchungen
- 1.2. Rumänische Untersuchungen
- 2. Die Klassen von Psych-Verben im Deutschen und Rumänischen
- 3. Wortstellung in Psych-Infinitivnominalisierungen
- 3.1. Wortstellung in Psych-Infinitivnominalisierungen im Deutschen
- 3.1.1. Psych-Infinitivnominalisierungen der Experiencer-Objekt-Verben
- 3.1.2. Psych-Infinitivnominalisierungen der Experiencer-Subjekt-Verben
- 3.2. Wortstellung in Psych-Infinitivnominalisierungen im Rumänischen
- 3.2.1. Psych-Infinitivnominalisierungen der Experiencer-Objekt-Verben
- 3.2.2. Psych-Infinitivnominalisierungen der Experiencer-Subjekt-Verben
- 4. Zusammenfassung
- Bibliographie
- A nominalização do infinitivo em português e em francês – Aspectos contrastivos
- 0. Considerações iniciais
- 1. Critérios de distinção das duas construções de nominalização do infinitivo considerados na literatura
- 2. A nominalização do infinitivo em português
- 2.1. Propriedades sintáticas e semânticas da nominalização do infinitivo em português
- 2.1.1. Infinitivo nominalizado1
- 2.1.2. Nominalização de uma oração infinitiva
- 3. A nominalização do infinitivo em francês
- 4. Algumas considerações diacrónicas sobre a nominalização do infinitivo em francês
- 5. Considerações finais
- Referências bibliográficas
- De l’article en français actuel vers d’autres langues à article ?
- 1. Introduction
- 2. Unzéro« après » de Guillaume, un zéro« avant » de Pottier ou un zéro « procès » d’Anscombre?
- 3. De quoi Godel avait-il peur?
- 4. Signe zéro vs zéro signe
- 5. Articles explicites vs article zéro:une spécialité maison française
- 6. Conclusion
- Bibliographie
- Os objetos cognatos em Línguas Românicas e no Inglês: Aspetos sintáticos e semânticos constrativos
- 0. Considerações introdutórias
- 1. Aspetos descritivos gerais e tipos de construções considerados na literatura
- 2. Os objetos cognatos em Línguas Românicas e no Inglês
- 2.1. Aspetos sintáticos e semânticos contrastivos das construções em estudo
- Definitude
- Modificação
- Coocorrência do verbo com um objeto não cognato (OH)
- Pronominalização
- 2.2. Síntese dos aspetos sintáticos e semânticos contrastivos
- 3. Tipos de construções: proposta de tipologia de OC e construções aparentadas para as línguas em análise
- 4. Considerações finais
- Bibliografia
- Scale ripide, mobili e a chiocciola – steile, Roll- und Wendeltreppen: Diverse categorie di combinazioni lessicali italiane del tipo “N + Agg o SPrep” e i loro equivalenti tedeschi – un confronto interlinguistico
- 1. Presentazione einquadramento teorico dell’oggetto di analisi
- 2. Polirematiche, lessemi complessi, composti sintagmatici, collocazioni:la vasta terminologia ele difficoltà di categorizzazioneriguardantile combinazioni lessicali del tipo “N + Agg/SPrep”
- 3. Analisi di esempi scelti di combinazioni lessicali italiane del tipo “N + Agg/SPrep” e dei loro equivalenti tedeschi da diversi punti di vista
- 3.1. Analisi dal punto di vista semantico
- 3.2. Analisi dal punto di vista cognitivo-concettuale
- 3.3. Analisi dal punto di vista didattico-lessicografico
- 4. Conclusioni
- Bibliografia
- Observations sur certaines équivalences roumaines des constructions françaises à pronom adverbial en
- 1. Introduction
- 2. En – complément du verbe
- 2.1. En– complément d’objet indirect
- 2.1.1. Équivalences pronominales en roumain : de el, de/cu ele(formes accentuées du pronom personnel, 3e personne, singulier/pluriel, cas accusatif avec préposition) ; le – pronom personnel, non accentué, 3e personne, pluriel, cas datif, sans préposition.
- 2.1.2. L’équivalent de en est, en roumain, l’anaphore vide ou zéro (notée Ø), interprétée comme une anaphore implicite ou inférentielle.
- 2.2. La relation sens posé vs. sens présupposéet son rôle dans l’interprétation des structures à pronom adverbial en
- 2.3. Conclusion et observations supplémentaires
- 2.4. En – complément adverbial exprimant la cause ; en roumain, l’anaphore est vide (ou « inférentielle »)
- 3. En – constituant d’un GV exprimant une quantification
- 3.1. En – employé auprès d’un verbe transitif direct – est complément d’objet direct à valeur partitive ; équivalents possibles en roumain
- 3.2. En – complément d’objet direct et constituant d’un GV avec quantificateur ; en roumain, anaphore zéro
- 4. Conclusion générale
- Bibliographie sélective
- Sources des exemples
- La construction en et ce en français comparée à la construction équivalente en norvégien og det
- 1. Introduction
- 2. Caractéristiques des anaphores de surface
- 3. La construction en et ce/og det
- 3.1 L’antécédent
- 3.2 La position de la proposition réduite
- 3.3 La fonction syntaxique du complément emphatisé
- 3.4. La portée de la négation
- 3.5. La fonction discursive de la construction
- 4. Conclusion
- Bibliographie
- Appositions en français et en suédois. Le cas de l’apposition du type le premier ministre israélien, Ariel Sharon
- 1. Introduction
- 2. Présentation théorique
- 2.1 Apposition liée et détachée –présentation des constructions
- 2.2 Le choix entre les constructions
- 3. Corpus et méthode
- 3.1 Corpus
- 3.2 Délimitations
- 4. Analyse
- 4.1. Les appositions dans le corpus
- 4.2. Pourquoi le détachement ? Le cas de l’apposition Nc(forme définie) + détachement + Npr
- 5. Conclusion
- Bibliographie
- Corpus
- Exemples traduits
- Références
- VI. Kontrastive Textologie
- Information oder Inszenierung? Zur Selbstpräsentation deutscher, französischer und spanischer Unternehmen im Web
- 1. Einleitung
- 2. Untersuchungskorpus und -methodik
- 3. Techniken der Unternehmenspräsentation
- 3.1. Produktbezogene Techniken
- 3.2. Unternehmensbezogene Techniken
- 3.3. Verweise auf externe Autoritäten
- 4. Zusammenfassung und Diskussion
- Bibliographie
- Untersuchte Websites und Datum der Archivierung
- Quellennachweis
- Packungsbeilagen in Spanien und Deutschland –Äquivalenz und Textsorten
- 1. Die Makrostruktur einer Textsorte als Ebene der Äquivalenzrelationen zwischen einer Übersetzung und ihrem Original
- 1.1. Textsorten als Prototypen
- 1.2. Textsorten als Texthandlungsmuster
- 2. Untersuchung
- 2.1. Korpora
- 2.2. Untersuchungsschritte
- 2.3. Ergebnisse der Makrostruktur-Untersuchungen
- 2.3.1. Erste Gliederungsebene der Textsorte
- 2.3.2. Zweite Gliederungsebene der Textsorte
- 3. Schlussfolgerungen
- Bibliographie
- Historiographie et narration
- 1. Considérations liminaires
- 2. Le dédain des historiens français pour la biographie
- 3. Un autre type de biographie
- 4. La biographie aujourd’hui dans le monde francophone
- 5. La biographie aujourd’hui dans le monde germanophone
- 6. Une conclusion désabusée et une perspective d’avenir
- Bibliographie
- Biographies citées
- Littérature secondaire
- VII. Kontrastive Anwendungen in Translation und Didaktik
- Zwischen Deutschland und Romania: die Saarbrücker Übersetzungsbibliographien als Werkzeug der Sprach-, Kultur- und Translationswissenschaften
- 1. Einleitung
- 2. Rahmendaten der Bibliographien
- 3. Stand der Erfassung und thematische Verteilung
- 4. Anwendungsbeispiele
- 4.1. Wertende Elemente in Übersetzungstiteln
- 4.1.1. Aufwertung des Autors
- 4.1.2. Hinweis auf die Treue der Übersetzung
- 4.1.3. Negative Wertungen
- 4.2. Mehrfachübersetzungen
- 4.3. Entwicklung der Bedeutung der lateinischen Sprache in der Romania
- 5. Fazit
- Bibliographie
- Juristische Fachübersetzungen im Sprachenpaar Französisch-Italienisch in den Jahren 1789 bis 1814
- 1. Einleitung und historische Einordnung
- 2. Historischer Abriss
- 2.1. Korsika
- 2.2. Piemont
- 3. Ergebnisse der Pilotstudie
- 3.1. Der verfremdende Charakter der Übersetzungen
- 3.2. Lexikalische Einflüsse
- 4. Schlussfolgerungen und Ausblick
- Bibliographie
- Archivmaterial
- Gedruckte Quellen
- Nachschlagewerke und Sekundärliteratur
- Spanische Rechtsbegriffe und deren Entsprechungen in der deutschen und österreichischen Rechtssprache
- 1. Rechtssprache als System
- 1.2. Deutsch und Spanisch als plurizentrische (Fach)Sprachen
- 2. Eigenart von Rechtsbegriffen
- 3. Spezielle Begriffe und ihre Benennungen
- 3.1. Beispiel freiwillige Gerichtsbarkeit
- 3.2. Beispiel Erbrecht
- 4. Rechtsbegriffe in der Übersetzung
- 4.1. Äquivalenz in der Rechtssprache
- 4.2. Übersetzungsstrategien
- 5. Schlussbemerkung
- Bibliographie
- Communication de risques – comunicación de riesgos – Risikokommunikation: ein Terminus, unterschiedliche Codes, Konzepte, (Fach)Kultur(en). Zur Relevanz von Mehrsprachigkeit, Kultur und Translation in der medizinischen Risikokommunikation und ihren Interaktionsbereichen
- 1. Risiko – risque – riesgo: Etymologie und Kommunikation
- 2. Risiko – risque – riesgo: Kultur und Kommunikation
- 3. Risiko – risque – riesgo: Mehrsprachigkeit und Kommunikation
- 4. Risiko – risque – riesgo im Sprach- und Kulturvergleich: Beispiele aus der Medizin
- 5. Fazit: Risiko – risque – riesgo und Translation
- Bibliographie
- Sekundärliteratur
- Corpus
- Schwäbisch Gmünd! Abbiamo un problema! – Humor in Jux-Wörterbüchern/-Lernbüchern
- 1. Ausgangslage
- 2. Reihenbildungen
- 3. Kurzanalyse von Italienisch für Touristen, die ihre Reisegruppe verloren haben
- 4. Conclusio
- Bibliographie
- a) Quellen
- b) Sekundärliteratur
- Fachsprache in Synchronisation und Untertitelung
- 1. Einleitung
- 2. Parameter der Fachsprachenforschung
- 3. Fachsprache in Synchronisation und Untertitelung
- 3.1. Synchronisation
- 3.2. Untertitelung
- 4. Beispieldiskussion
- 4.1. Fachsprachliche Kommunikationskonstellationen: Parameter fürSynchronisation und Untertitelung
- 4.2. Fachsprache und die Restriktionen der Synchronisation
- 4.3. Fachsprache und die Restriktionen der Untertitelung
- 5. Fazit und Ausblick
- Bibliographie
- Fernsehserien
- Medizinische Wörterbücher und Datenbanken
- Sekundärliteratur
- Wenn die Stuhlganglady zur regina del gabinetto wird: Zur Übertragung kreativer Nominalkomposita aus dem Deutschen ins Französische und Italienische
- 6. Einleitung
- 7. Kontrastive Betrachtung von Nominalkomposita aus translatologischer Sicht
- 3. Zu den Begriffen der Kreativität und der KWB
- 4. Zu Übersetzungsverfahren bei KWB
- 4.1. Vorbemerkungen zum „Ausgangsmaterial“
- 4.2. Nachbildung des AS-Mechanismus
- 4.3. Wahl des am nächsten liegenden „Standardäquivalents“
- 4.4. Auflösung der Wortneubildung
- 4.5. Abschließende Bemerkungen zur Analyse
- 5. Fazit und Ausblick
- Bibliographie
- Korpus
- Sekundärliteratur
- El valor evidencial reportativo del pretérito imperfecto y su traducción al alemán. Análisis contrastivo en base a textos periodísticos del español y el alemán
- 1. Introducción
- 2. La modalización y el valor evidencial reportativo del pretérito imperfecto
- 3. Los medios evidenciales reportativos en alemán
- 3.1. El Konjunktiv
- 3.2. Sollen & wollen
- 4. Análisis de traducción: imperfecto evidencial reportativo en alemán
- 5. Conclusión
- Bibliografía
- Corpus:
- Verfremdung und Entfremdung: Kontrast gegensätzlicher Übersetzungsverfahren am Beispiel zweier kolumbianischer Werke in deutscher Übersetzung
- 1. Einleitung
- 2. Übersetzungsmethoden
- 3. Merkmale der Ausgangstexte
- 3.1. Der sicario als zentrale Romanfigur
- 3.2. Soziolekt, Sprachkontrast und Gesprochensprachlichkeit
- 4. Vergleich zwischen Originaltext und Übersetzung
- 4.1. Rosario Tijeras oder Die Scherenfrau
- 4.2. La Virgen de los Sicarios oder Die Madonna der Mörder
- 5. Vergleich der zielsprachlichen Texte
- 6. Schlussbemerkungen
- Bibliographie
- Primärliteratur
- Sekundärliteratur
- Zur Übersetzbarkeit der Austriazismen: Christine Nöstlingers Romane auf Italienisch
- 1. Einleitung
- 2. „Sprache ist das Wichtigste“
- 3. Zu den Austriazismen1 in den Romanen
- 4. Zur Übersetzbarkeit der Austriazismen
- 4.1. Zum Korpus
- 4.2. Lexikalische Austriazismen
- 4.2.1. Schule
- 4.2.2. Essenund Trinken
- 4.2.3. Wortkomposita
- 4.2.4. Schimpfwörter und Phraseologismen
- 4.2.5. Namen
- 4.3. Pragmatische Austriazismen
- 4.3.1. Honorationsformen
- 4.3.2. Maßeinheiten und Währung
- 5. Fazit und Schlussbemerkungen
- Bibliographie
- Primärliteratur
- Sekundärliteratur
- Deutsch-französische Stolpersteine in der mündlichen Translation
- 1. Einleitung
- 2. Besondere Anforderungen an dasStegreifübersetzenFranzösisch-Deutsch
- 2.1. Kommunikative Rahmenbedingungen beim Stegreifübersetzen
- 2.2. Stressbelastung durch die Arbeit unter Zeitdruck
- 2.3. Anpassung des Zieltexts an das Medium der Mündlichkeit
- 2.4. Gefahr von Interferenzen
- 3. Semantische KlippenbeimStegreifübersetzen Französisch- Deutsch
- 3.1. Kulturspezifika oder Realia
- 3.2. Interferenzen bei der Wiedergabe idiomatischer Wendungen
- 4. Syntaktische Hürden im Sprachenpaar Französisch-Deutsch
- 4.1. Anpassung der Satzbaupläne an die Zielsprache
- 4.2. Komplexe Satzgefüge
- 4.3. Umgang mit erweiterten Nominalgruppen
- 5. Wechsel von Schriftlichkeit zu Mündlichkeit beim Stegreifübersetzen
- 5.1. Herausarbeitung der Makrostruktur des Texts
- 5.2. Ellipsen und Interpunktion
- 6. Fertigkeiten zur Überwindung sprachenpaarspezifischer Schwierigkeiten in der mündlichen Translation
- 7. Mehrwert kontrastiver Verfahren in der Translationsdidaktik
- Bibliographie
- Deutsch-italienischer Sprachvergleich in Grammatiken des Nürnberger Sprachmeisters Matthias Kramer (1640-1727)
- 1. Einleitung
- 2. Deutsch- und Italienischgrammatiken aus den 1690er Jahren: Anlage und Struktur
- 3. Sprachkontrastive Zielsetzungen
- 4. Kontrastive Ansätze in der Darstellung der Pronomina
- 4.1. Definition, Deklinationsparadigma und Kategorisierung
- 4.2. Beispiele für Sprachvergleich
- Subjekt- und Objektpronomina
- Das Pronomen Neutro e Reciproco sich (se)
- Die Particulae Relativae ci/vi/ne und ihre deutschen Entsprechungen
- 5. Fazit
- Bibliographie
- Primärliteratur
- Sekundärliteratur
- Ansätze zum interlingualen Sprachenvergleich in neueren Lehrwerken für den spät beginnenden Italienisch- und Spanischunterricht
- 1. Einleitung
- 2. Interkomprehension
- 3. Lehrwerkanalyse
- 3.1. Analyse der Schülerbände zu A_tope.com, Giro und In piazza
- 3.2. Analyse der Arbeitshefte zu A_tope.com und Giro
- 3.3. Analyse der Grammatischen Beihefte zu A_tope.com,Giro und In piazza
- 4. Fazit
- 5. Ein Lichtblick…
- Bibliographie
- Linguistisch-didaktische Literatur
- Lehrwerke
- A_tope.com
- Découvrons le français
- Descubramos el español
- Giro
- In piazza
- Scopriamo l’italiano
- Reihenübersicht
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Die internationalen Arbeitstagungen zum romanisch-deutschen und innerromanischen Sprachvergleich wurden im Jahr 1987 von dem hoch angesehenen Romanisten und Translatologen Gerd Wotjak ins Leben gerufen und bis 2003 an der Universität Leipzig im Vierjahresrhythmus abgehalten. Die sechste Veranstaltung dieser Serie fand 2008 an der Universität Innsbruck statt. Da die Feuertaufe als gelungen betrachtet werden konnte, wie unter anderem die fast 1000 Seiten umfassenden Tagungsakten1 zeigen, wurde die Reihe im bewährten Intervall fortgesetzt. Erfreulicherweise war der Zuspruch bei der Neuauflage im September 2012 erneut groß. Die Hoffnungen des Organisationsteams haben sich allesamt erfüllt. Renommierte Vertreterinnen und Vertreter ihres Fachs haben Maßstäbe gesetzt und dem wissenschaftlichen Nachwuchs Perspektiven eröffnet; das Gespräch zwischen den Generationen hat stattgefunden und gewiss auch Früchte getragen, und die erfreulich hohe Anzahl junger Teilnehmerinnen und Teilnehmer berechtigt zu einer günstigen Prognose, was die Vitalität der Kontrastiven Linguistik betrifft.
Obwohl man nackte Zahlen nicht überbewerten soll, war es doch ein gutes Signal, dass die Tagung gegenüber 2008 um einen Halbtag verlängert werden musste, um alle angenommenen Anmeldungen zeitlich unterbringen zu können, ohne mehr als zwei Sektionen parallel laufen lassen zu müssen. Die Anzahl der veröffentlichten Beiträge ist exakt gleich geblieben. Bezüglich der Länge der Beiträge mussten die Herausgeber etwas restriktiver verfahren als das letzte Mal, damit der Umfang der Tagungsbände im Rahmen der Finanzierbarkeit gehalten werden konnte.
Erweitert hat sich auch das geographische Einzugsgebiet Richtung Norden und Osten. Die Anwesenheit skandinavischer Kolleginnen, wohl auch dem Adjektivkompositum germano-romane im französischen Tagungstitel geschuldet, ist ein Indiz, dass in kleineren Sprachgemeinschaften die Möglichkeiten, ← 11 | 12 → kontrastive Arbeiten zur Diskussion zu stellen, noch beschränkter sind als im deutschen Sprachraum.
Besonders begrüßt haben die Organisatoren die quantitative Ausgewogenheit der behandelten romanischen Sprachen und die Tatsache, dass sich Beiträge öfter als früher mit mehr als zwei Sprachen beschäftigt haben.
Auch in linguistisch gewöhnlich gut informierten Kreisen wird Kontrastive Linguistik vielfach vorwiegend in Zusammenhang mit dem Sprachunterricht gesehen und die Auffassung vertreten, dass die Konjunktur dieser Subdisziplin davon abhänge, wie sehr die jeweiligen Doktrinen der Sprachdidaktik die Zuträgerdienste der Linguistik in Anspruch nähmen. Aber die Beiträge dieses Bandes beweisen vielmehr, dass das Schicksal der Kontrastiven Linguistik gar nicht so stark vom mainstream der Unterrichtstheoretiker abhängig ist. Und das hat einen sehr einfachen Grund: Vergleichen ist ein Grundbedürfnis des Menschen, um sich in der Welt zu orientieren. Vergleichen ist ein heuristisches, also erkenntnisförderndes Verfahren, das man auf allen Abstraktionsstufen anwenden kann. Treffend und unnachahmlich einfach haben es einmal zwei Sprachwissenschaftler im Geleitwort zur Festschrift eines bekannten Proponenten des Sprachvergleichs auf den Punkt gebracht: „Wer vergleicht, sieht mehr und anderes; es fällt ihm mehr auf, und es fällt ihm mehr ein.“2 Vergleichen ist ein Mittel, die intellektuelle Neugier zu befriedigen. Freilich gehört zur Freude am Vergleichen von Sprachen eben auch die Kenntnis mehrerer verschiedener Sprachen. Bei unserer Tagung und in der vorliegenden gedruckten Dokumentation kommt diese Freude auch dadurch zum Ausdruck, dass nicht eine Publikationssprache obligatorisch vorgeschrieben wurde, sondern alle romanischen Sprachen und Deutsch zugelassen waren. So ist nun auch ein Sammelband entstanden, in dem fünf verschiedene Sprachen verwendet werden und in dem über ein Dutzend nachgedacht und geschrieben wird.
Ziemlich genau drei Jahrzehnte nach der Veröffentlichung einer Einführung in die kontrastive Linguistik3, die sehr auf den Einsatz in der Sprachpraxis fokussiert war, ist kürzlich endlich wieder eine Überblicksdarstellung4 erschienen. Darin wird die Reichweite der Kontrastiven Linguistik umsichtiger vermessen, indem auch verschiedene Zweige der Sprachwissenschaft wie z.B. die Typologie oder die Areallinguistik miteinbezogen werden. Nicht nur die Tatsache der Publikation an sich, sondern auch der erweiterte Horizont nährt die Erwartung, ← 12 | 13 → dass das Erkenntnispotential der Kontrastiven Linguistik in absehbarer Zeit wieder breitere Anerkennung findet.
Dass die Tagung in angenehmer Atmosphäre verlaufen konnte, verdanken wir vor allem den Teilnehmerinnen und Teilnehmern selbst, aber auch den Sponsoren und den studentischen Helferinnen und Helfern. Finanziell unterstützt wurden wir vom Land Tirol, vom Land Vorarlberg, vom Südtiroler Kulturinstitut, und an der Universität Innsbruck vom Frankreich-Schwerpunkt, dem Vizerektorat für Forschung und dem Dekanat der Philologisch-Kulturwissenschaftlichen Fakultät. Ebenso unermüdlich wie diskret um das reibungslose Funktionieren des Geschehens und um das Wohl der Gäste besorgt waren Romana Kaier, Charlotte Krautgasser, Barbara Pizzedaz, Laura Schuon und Marco Caregaro.
Die Publikation wurde durch Zuschüsse des oben schon erwähnten Dekanats der Philologisch-Kulturwissenschaftlichen Fakultät der Universität Innsbruck gefördert. Die VIII. Internationale Arbeitstagung zum romanisch-deutschen und innerromanischen Sprachvergleich wird aller Voraussicht nach im September 2016 wieder an der Universität Innsbruck stattfinden.
Innsbruck, August 2013/2014
1 Lavric, Eva / Pöckl, Wolfgang / Schallhart, Florian (Hg.) (2011): Comparatio delectat. Akten der VI. Internationalen Arbeitstagung zum romanisch-deutschen und inerromanischen Sprachvergleich. Innsbruck, 3.-5. September 2008. 2 Bände. (InnTrans. Innsbrucker Beiträge zu Sprache, Kultur und Translation, 4). Frankfurt a.M. u.a.: Peter Lang
2 Bausch, Karl-Richard / Gauger, Hans-Martin (1971): Zum Werk Mario Wandruszkas. In: dies. (Hg.): Interlinguistica. Sprachvergleich und Übersetzung. Festschrift zum 60. Geburtstag von Mario Wandruszka. Tübingen: Niemeyer, IX-XVI; Zitat S. XIII
3 Rein, Kurt (1983): Einführung in die kontrastive Linguistik. Darmstadt: Wissenschaftliche Buchgesellschaft
4 Tekin, Özlem (2012): Grundlagen der Kontrastiven Linguistik in Theorie und Praxis. Tübingen: Stauffenburg
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VERSTECKTE MODALITÄT IN ROMANISCHEN SPRACHEN UND IHRE ENTSPRECHUNGEN IM DEUTSCHEN
In den romanischen Sprachen stehen Verbalmodi, Modalverben, Modaladverbien und Modalpartikeln zum Ausdruck von Modalität zur Verfügung, die schon häufig mit dem Deutschen verglichen wurden. In diesem Beitrag soll es um Entsprechungen versteckter, sogenannter coverter Modalität gehen (vgl. Abraham / Leiss 2012, Haßler 2012). Zunächst soll das Verständnis von Modalität dargelegt werden, um dann ihre coverten Formen einzuordnen. Die gegenseitigen Entsprechungen werden an Beispielen analysiert und schließlich wird ein Vorschlag entwickelt, wie die Mittel der Modalisierung als sprachspezifisch und zu einem Kontinuum gehörend beschrieben werden können.
Les langues romanes disposent de modes verbaux, de verbes et d’adverbes modaux et de particules modales pour l’expression de la modalité. Ces éléments ont déjà été comparés avec les formes qui leur correspondent en allemand. Dans cet article, nous traiterons de l’expression de la modalité « couverte » (cf. Abraham / Leiss 2012, Haßler 2012). D’abord, la notion de modalité sera expliquée pour mettre en relation avec celle-ci ses formes couvertes. Les équivalents mutuels seront analysés à partir d’exemples. Nous développerons une proposition pour décrire les moyens linguistiques de la modalisation comme spécifiques de chaque langue et appartenant à un continuum.
1. Modalität und ihr overter und coverter Ausdruck
Wenn wir die Modalität als eine funktional-semantische Kategorie definieren, die die Faktivität des dargestellten Sachverhalts und Einstellungsbekundungen des Sprechers betrifft, so scheint der Modus ihr Kern zu sein. Doch ebenso wie das Tempus keine direkte Benennung von Zeit ist, benennt der Modus nicht Realität oder Nichtrealität, sondern stellt eine sprachliche Verarbeitung der Verhältnisse dar. So ist es nicht ohne Weiteres möglich, das indikativische französische Tempus imparfait als Ausdruck von real in der Vergangenheit stattgefundenen Handlungen aufzufassen:
1) Il partait lorsque le téléphone sonna. | (![]() |
2) Si tu étais ici, quel bonheur. | (![]() |
3) Il serait heureux s’il réussissa it à son examen. ← 17 | 18 → | (![]() |
In (1) bezeichnet partait eine in der Vergangenheit im Verlauf befindliche Handlung, von der aber nicht gesagt wird, ob sie nach dem Klingeln des Telefons wirklich abgeschlossen wurde. In (2) wird ein Wunsch mit Blick auf die Gegenwart formuliert, der irreal ist. In dem Konditionalsatz (3) wird das imparfait sogar auf die Zukunft bezogen und für die Formulierung einer irrealen Bedingung in einem Konditionalgefüge verwendet. Das imparfait übernimmt hier als indikativische Ausdrucksform den Ausdruck von Modalität, allerdings in syntaktischen Strukturen, die modale Bedeutungen nahe legen. Wir werden noch sehen, dass es auch alleine in der Lage ist, Modalität covert zu vermitteln.
In den letzten Jahren hat es verschiedene Einteilungen der verschiedenen Typen von Modalität gegen, wovon hier die von Larreya (2009, 10) erwähnt sei:

Graphik 1: Arten von Modalität
Die irreale Modalität wird dabei ebenso ausgeklammert wie die auf das Wollen bezogene bulethische und die optative Modalität. In der hier vorgenommenen Unterscheidung betrifft Root modality den Bereich der Affekte und Handlungen der Menschen, epistemische dagegen ihr Denken und Wissen (vgl. Haßler 2001). Der Unterschied der beiden Unterarten der Root Modality beruht auf dem Gegensatz von physischem und moralischem Zwang. Bei epistemischer Modalität wird einer Proposition ein Wahrheitswert zugewiesen, der bei der implikativen Modalität nur wahr oder falsch sein kann, bei problematischer Modalität aber auch Zwischenstufen einnehmen kann.
Wir nehmen eine abgewandelte Einteilung vor, nach der mindestens drei Modalitätsskalen in den Sprachen unterschieden werden können:
4) Die Skala des ‘Wunsches’ und der ‘Absicht’, z.B. ich will das Buch bis Dezember beenden.
5) Die zweite Skala ist die der ‘Notwendigkeit’ und der ‘Verpflichtung’, z.B. ich muss/soll nächste Woche nach Berlin fahren. ← 18 | 19 →
6) Die dritte ist die Skala der ‘Gewissheit’ und ‘Möglichkeit’. Sie entspricht weitgehend der epistemischen Modalität, deren versteckter Ausdruck in romanischen Sprachen im Folgenden im Mittelpunkt stehen wird, z.B. Ich glaube, er wird es schaffen.
Coverte Ausdrucksformen von Modalität sind bei näherer Betrachtung weitaus häufiger als explizite und als solche beschriebene Markierungen. Abraham / Leiss (2012, 1) unterscheiden dabei zwei Arten von Verdecktheit: Einerseits das Fehlen jeglicher modaler Markierungen, andererseits kann aber der Ausdruck modaler Bedeutungen so komplex sein, dass er noch nicht als solcher beschrieben wurde und die entsprechenden Formen anderen grammatischen Kategorien zugerechnet werden. Zu den klassischen Fällen des Fehlens von Modalitätsausdrücken gehören im Deutschen eingebettete Infinitivkonstruktionen (vgl. Bhatt 2006, Holl 2010), die Verpflichtung oder Möglichkeit ausdrücken, oder ebenfalls Möglichkeit implizierende Reflexivkonstruktionen:
7) Die Aufgaben sind zu lösen.
8) Das Buch liest sich gut.
Zu den Formen komplexer und noch nicht explizit als solcher erklärter Modalität gehören in den romanischen Sprachen modale Verwendungsweisen imperfektiver Verbformen, in denen sie nicht die indikativische Bedeutung als Modus haben, sondern eine Modalisierung der Äußerung vornehmen und zum Ausdrucksmittel von epistemischer Modalität werden.
Tatsächlich kann zum Beispiel das spanische imperfecto in seiner „nichttypischen“ Verwendung nichtfaktische und kontrafaktische Äußerungen tragen. In dem folgenden Beispiel wird der Handel keinesfalls abgeschlossen, vielmehr wird der Abschluss aufgrund der fehlenden Bedingung für unmöglich erklärt:
9) Si yo pudiera, mocito, este trato se cerraba (García Lorca, Poesía Española, Antología por Gerardo Diego, 313)
2. Coverter Ausdruck von Modalität und Evidentialität im Deutschen und in romanischen Sprachen
Betrachten wir zunächst Fälle coverter Modalität, in denen zwar modale Mittel verwendet werden, diese aber umgedeutet werden, und in denen die letztendlich vorliegende Bedeutung nicht durch diese Elemente selbst ausgedrückt wird. Es handelt sich um einen Spezialfall der komplexen Modalität, der sich gewissermaßen hinter einer anderen Art von Modalität versteckt und der für das Deutsche spezifisch ist. ← 19 | 20 →
2.1. Beispiel 1: hinter deontischen Modalverben versteckte Evidentialität
Die Modalverben sollen und wollen treten nicht nur als Ausdruck von deontischer und bulethischer Modalität auf, sondern sie können auch mit evidentiellen Werten verwendet werden.
10) Peter soll seine Hausaufgaben machen. | deontisch |
11) Eva will ein Bier trinken. | bulethisch |
12) Peter soll seine Hausaufgaben gemacht haben. | Information: 3. Person |
13) Eva will ein Bier getrunken haben. | Information: Subjekt |
In Satz (12) wird die Tatsache, dass Peter seine Hausaufgaben gemacht hat, als von einer dritten Person erfahren und mit mittlerer Wahrscheinlichkeit zutreffend dargestellt, während der Sprecher in Satz (13) die Information von der als Subjekt auftretenden Person selbst hat, sie aber als nur wenig wahrscheinlich darstellt. Auslöser für die eindeutig evidentielle Lesart ist in beiden Sätzen die Perfektform des Vollverbs. Bei sollen wird im Zusammenhang mit der Präsensform (vgl. 10) die deontische Lesart präferiert, die epistemische ist jedoch nicht ausgeschlossen, während bei wollen im Kontext des Präsens (vgl. 11) nur die bulethische Bedeutung möglich ist.
Betrachten wir nun die evidentielle Bedeutung von wollen und sollen in Pressetexten und ihre Ausdrucksmöglichkeiten in romanischen Sprachen. Dafür, dass die Form will problemlos die Herkunft des mitgeteilten Wissens aus fremder Quelle, nämlich von der Person, über die gesprochen wird, markieren kann, sei der folgende Beleg angeführt:
14) Anders Behring Breivik hatte am Samstag die Täterschaft bei beiden Anschlägen zugegeben. Er will sie allein ausgeführt haben.
(http://www.sueddeutsche.de/politik/bluttat-in-norwegen-attentaeter-nenntanschlaege-grausam-aber-notwendig-1.1123955)
Zugleich wird damit eine Distanz des Produzenten der Äußerung ausgedrückt, die deren Inhalt als eher unwahrscheinlich erscheinen lässt. Auch mit sollen, das auf eine fremde, jedoch nicht mit dem Subjekt identische Quelle verweist, wird die Regresspflicht des Textproduzenten relativiert, die Aussage nähert sich jedoch der Wahrscheinlichkeit an:
15) Behring Breivik soll ausdrücklich versichert haben, allein gehandelt zu haben. Doch stößt diese Darstellung bei den Behörden auf Skepsis.
(http://www.stern.de/panorama/doppelanschlag-in-norwegen-attentaeter-streitet-strafbare-handlung-ab-1709391.html) ← 20 | 21 →
In den romanischen Sprachen steht kein solches polyfunktionales Modalverb zur Verfügung, das in entsprechenden Kontexten, wie etwa mit dem Vollverb im Perfekt, evidentielle Bedeutung annehmen könnte. Der Ausdruck der Herkunft des Wissens des Textproduzenten von einem erwähnten Subjekt muss hier expliziter erfolgen, wie in dem französischen Beispiel (16) durch die performative Formel a reconnu les faits und durch direkte Zitate markierende Anführungszeichen:
16) […] depuis son arrestation vendredi, Behring Breivik a reconnu les faits, estimant que les attaques étaient “cruelles” mais “nécessaires”.
(http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/monde/20110723.OBS7523/norvege-anders-behring-breivik-profil-d-un-tueur-presume.html)
In Beispiel (17) wird die Informationsquelle, l’agence de presse norvégienne, explizit genannt :
17) Les enquêteurs penchent donc pour le moment pour un acte isolé, mais ils n’excluent pas des complicités. Selon l’agence de presse norvégienne, ils seraient d’ailleurs à la recherche d’un 2e tireur potentiel.
(http://www.lefigaro.fr/international/2011/07/23/01003-20110723ARTFIG00418-un-homme-obsede-par-le-multiculturalisme.php)
Im spanischen Beispiel (18) wird eine dem deutschen sollen entsprechende evidentielle Markierung mit oficialmente se dice vorgenommen:
18) Aunque oficialmente se dice que Anders Behring Breivik actuó en solitario, las investigaciones policiales van dirigidas a destapar qué hay o quien está detrás de estos dos atentados, […].
(http://www.lne.es/internacional/2011/07/24/detenido-anders-behring-breivik-ultra-pertenecio-segundo-partido-pais/1106842.html)
Auch die Verwendung von performativen Verben (reconocer) im Zusammenhang mit der unmittelbaren Bezeichnung der Quelle der Information gibt evidentielle Information und trägt zugleich zur Reduzierung der Regresspflicht des aktuellen Sprechers oder Schreibers bei:
19) El sospechoso reconoció que disparó en la isla, declaró el comisario Sveinung Sponheim.(http://www.latribuna.hn/2011/07/24/sospechoso-de-ataques-deoslo-admitio-responsabilidad/)
Während im Deutschen die gleichzeitig vorgenommene Evidentialisierung und Modalisierung als wenig oder in mittlerem Grade wahrscheinlich über die Verben sollen und wollen erfolgt, muss diese Information in den romanischen Sprachen expliziter über lexikalische Elemente ausgedrückt werden. Bei der Markierung eines hohen Grades an Wahrscheinlichkeit und gleichzeitiger Angabe der Herkunft des Wissens aus Schlussfolgerung stehen hingegen in den romanischen ← 21 | 22 → Sprachen wie im Deutschen entsprechende Modalverben zur Verfügung. In den Beispielen (20) bis (24) drücken die entsprechenden Formen von müssen, devoir, deber, dever, dovere evidentiell Schlussfolgerungen aus, denen modal ein hoher Wahrscheinlichkeitswert zugesprochen wird:
20) Allein die Monstrosität seiner Verbrechen mag manchen zu der Überzeugung bringen, dass der 33-Jährige geisteskrank sein muss.
(http://www.sueddeutsche.de/panorama/urteilsbegruendung-im-fall-breivik-ein-terrorist-mit-extremistischem-weltbild-1.1449230)
21) Le procès Breivik doit renforcer la démocratie. (http://www.eurotopics.net/fr/home/presseschau/archiv/results/archiv_article/ARTICLE103726-Le-proces-Breivik-doit-renforcer-la-democratie)
22) Este asesino debe estar planificando su segundo golpe cuando salga.
(http://es-us.noticias.yahoo.com/breivik-declarado-responsable-actos-condenado-21-a%C3%B1os-c%C3%A1rcel-081835128.html)
23) O veredicto de Anders Behring Breivik, o autor ataque no verão passado na Noruega, deve ser conhecido ou a 20 de julho ou a 24 de agosto, anunciou, hoje, o Tribunal de Oslo.
(http://www.aeiou.pt/quiosque/policia-diz-que-breivik-nao-teve-cumplices)
24) Se un individuo può arrivare a considerare di nessun valore la vita di un altro essere umano, tanto da premeditarne la morte per propria mano, allora deve esserci qualche cosa che non va nella sua mente.
(http://www.giornalettismo.com/archives/463821/cosa-insegna-il-caso-breivik/)
2.2. Beispiel 2: indikativische Verbformen als Ausdruck von Modalität
Das Fehlen der evidentiellen Bedeutung bei bestimmten Modalverben wird in den romanischen Sprachen auf vielfältige Weise kompensiert, unter anderem durch einen coverten Ausdruck von Modalität durch indikativische imperfektive Verbformen. Der Gebrauch des imperfecto im Beispiel (25) scheint allen prototypischen Merkmalen zu widersprechen: Es handelt sich um eine einmalige, zeitlich lokalisierte und abgeschlossene Äußerung von Peres, über die hier berichtet wird und die den Gebrauch des einfachen Perfekts nahe legen würde, etwa wie im Beispiel (26):
25) Peres reconocía ayer que el presidente sirio, Hafez El Assad, será el gran ausente de la cumbre, si bien ha sido informado por Mubarak de todos los detalles. (La Vanguardia, 02/02/1995, Política)
26) Juppé reconoció ayer que los ingresos fiscales ‘están en una auténtica situación de siniestro’, al no haberse cumplido las previsiones de crecimiento. (La Vanguardia, 30/09/1995, Economía y Hacienda) ← 22 | 23 →
Während in Beispiel (26) das Zugeben einfach als Faktum konstatiert wird, reduziert die Verwendung des imperfecto in journalistischen Texten die Regresspflicht des Journalisten und hat also mit Modalität im weiteren Sinne zu tun. Kontextuelle Elemente stehen dafür nicht zur Verfügung, die Modalität ist hier also im wahrsten Sinne des Wortes versteckt.
Das Imperfekt hat sich zu einer Verbform entwickelt, die sich als indeterminiert, unabgeschlossen und regelmäßig den textuellen Hintergrund kennzeichnend beschreiben lässt. Für seine modale Verwendung gibt es verschiedene Erklärungsansätze. Die in der linguistischen Forschung wiederholt getroffene Feststellung der Neigung von Vergangenheitsformen zu modalen Verwendungsweisen (z. B. Coseriu 1976, Fleischmann 1982, Reyes 1990, Detges 2001, Comrie 1976, Dessì Schmid 2010) muss allerdings durch Beispiele wie (2) und (3) relativiert werden, in denen das Imperfekt nicht Vergangenheit bezeichnet. Plausibler scheint der Zusammenhang aspektueller Merkmale der Verbform mit der Fähigkeit zu modalen Verwendungen.1 Außerdem trifft sich das Fehlen einiger polyfunktionaler Modalverben (z.B. für ‘wollen’ im Sinne von 2.1., Bsp. 13 u. 14) in romanischen Sprachen mit der typologischen These, dass „In the absence of modal verbs, aspect fills the expressive gap‟ (Abraham / Leiss 2008, XIV). Doch vor allem kann die Verwendung modalisierter Imperfektformen als metonymischer Vorgang ausgehend von der aspektuellen Bedeutung gedeutet werden. Die Indeterminiertheit, der unabgeschlossene Charakter des dargestellten Prozesses und sein Stehen im textuellen Hintergrund – also Merkmale der Ausprägung der imperfektiven Aspektualität – bilden die Brücke zur epistemischen Modalität.
Indem der Sprecher das Imperfekt benutzt, trifft er eine sehr ökonomische Entscheidung. Das enzyklopädische Wissen des Sprechers um die Tatsache, dass etwas im Hinblick auf Anfang und Ende Unbestimmtes einen geringeren Grad an Assertivität hat oder nur unter bestimmten Bedingungen zutrifft, ermöglicht die Übertragung auf zu modalisierende Sachverhalte. So wird im folgenden Satz das imperfecto (podías) in der Irrealiskonstruktion für den Konditional eingesetzt:
27) Si hubiese otra taberna abierta a estas horas, te podías despedir de mi como cliente. (I. Aldecoa, En el kilómetro 400, en Libro de Lecturas, 37. vgl. Fernández Ramírez 1986, 276)
In einigen Textsorten, insbesondere in der Pressesprache, ist der Verweis der Regresspflicht für den Inhalt der Äußerung auf ein anderes, außerhalb der Sprecherdeixis liegendes Zentrum besonders wichtig und wird regelmäßig mit ← 23 | 24 → dem Imperfekt vollzogen.2 Dabei gibt es zwischen den romanischen Sprachen graduelle Unterschiede. Im Französischen wird diese Funktion vor allem durch den überdimensionalen Gebrauchs des Conditionnel journalistique wahrgenommen (Raible 1983: 276), das offen lässt, ob inferentielle oder quotative Evidentialität vorliegt:
28) Visiblement, les Français sont un brin nostalgiques. A en croire un sondage Ifop pour le Figaro Magazine, les Français préféreraient avoir Nicolas Sarkozy(46%) plutôt que François Hollande (27%) à l'Elysée.
(http://actu.orange.fr/une/pres-de-la-moitie-de-francais-prefereraient-sarkozy-comme-president-afp-s_2717246.html)
In ähnlicher Funktion tritt heute das Imperfekt in romanischen Sprachen auf (vgl. Labeau / Larrivée 2005). Wir haben bereits gesehen, dass es die Eröffnung einer weiteren Sprecherdeixis ermöglicht, ohne dass dafür das andere deiktische Zentrum genannt werden müsste. Derartige Verwendungen sind in der Pressesprache besonders auffällig. Die imperfecto-Formen in den Beispielen (29) bis (31) werden für die Darstellung einmaliger, abgeschlossener und zeitlich determinierter Handlungen verwendet. Während sich hier also durchaus perfektive Verbformen erwarten ließen, verwenden die Journalisten das imperfecto, das ihnen erlaubt, nicht die Verantwortung für den Inhalt zu übernehmen und anzudeuten, dass sie das Mitgeteilte aus Beobachtung, fremder Mitteilung oder eigener Reflexion gewonnen haben, ohne jedoch eine genaue Quelle mitzuteilen.
29) Diego Mateo del Peral, recibía un oficio del rector de la Universidad (El País, Educación, 04/08/1997)
30) Un soldado croata disparaba ayer con antiaéreos (La Vanguardia, Ciencia Militar, 02/05/1995)
31) Ese mismo día moría el genio del idioma castellano con Miguel de Cervantes Saavedra. (El Tiempo, Literatura, 01/06/1990)
In ähnlicher Weise finden sich in anderen romanischen Sprachen Verwendungen des Imperfekts, in denen nicht der Ablauf eines Prozesses ohne Determination und Limitierung bezeichnet wird, sondern ein zeitlich begrenzter und abgeschlossener Vorgang im Blickfeld steht. Auch hier reduziert das Imperfekt die Verantwortung des Sprechers, in diesem Fall des Journalisten, und verweist auf eine unbestimmte Quelle:
32) On y disait que le directeur du corps de ballet ne lui avait vraiment pas laissé de passe-droit. (http://www.voir.ca/cinema/fichefilm.aspx?iIDFilm=5045) ← 24 | 25 →
33) Há já algum tempo alguém evidenciava num artigo do Jornal Terras da Beira, as qualidades da equipa […] (CDP, 18 Set 97, A voz que vai morrer em directo)
Besonders auffällig ist die systematische Verwendung des Imperfekts in Börsenberichten, wo zwar konkrete Zahlen und Vorgänge dargestellt werden, der Autor sich aber nicht dafür verbürgen will und ohne deren Nennung auf eine fremde Quelle verweist:
34) L’action d’Isacsoft perdait 1,5 cent. (http://www.lapresseaffaires.com/article/20070327/LAINFORMER/70327146/5891/LAINFORMER01)
35) Repsol, que ayer pagaba dividendo movió 23.984 millones de pesetas […] (El Mundo, 09/01/1996, Negocios)
Imperfektformen des Indikativs, die traditionell als nicht modalisierend betrachtet werden, können also durchaus, auf eine komplexe Weise, versteckt modalisieren. Sie können neben der Deixis des aktuellen Textproduzenten eine weitere Deixis, die der Informationsquelle, kennzeichnen. Da das Deutsche über keine aspektuell markierten Verbformen verfügt, muss es andere Formen der verdeckten Modalität, etwa polyfunktionale Modalverben,3 oder overte Modalisierungen mit dem Konjunktiv oder Modalpartikeln nutzen, wie in den Übersetzungen des Satzes (36):
36) Diego Mateo del Peral, recibía un oficio del rector de la Universidad
36a) Diego Mateo del Peral habe einen Brief des Rektors der Universität erhalten.
36b) Diego Mateo del Peral erhielt wohl einen Brief des Rektors der Universität /… soll erhalten haben.
Da overte Modalisierungen jedoch expliziter und weniger subtil sind, werden sie in Übersetzungen nicht selten auch weggelassen:
36c) Diego Mateo del Peral erhielt einen Brief des Rektors der Universität.
2.3. Beispiel 3: Modalpartikeln und ihre Auslassung
Da zu den Modalpartikeln schon viel geschrieben worden ist (Albrecht 1977, Beerboom 1992, Borst 1982, Coniglio 2011, Katelhön 2008, Masi 1996, Meibauer 1994, Molnár 2002, Wegener 1998, Weydt 1977 und 1979), soll hier nur angedeutet werden, inwiefern sie mit coverter Modalität in Zusammenhang gebracht werden können. Das Deutsche verfügt bekanntlich über eine große Zahl ← 25 | 26 → von Modalpartikeln (ja, doch,, eben, halt, einfach, eh, sowieso, wohl, schon, denn, eigentlich, bloß, nur, vielleicht …), die in die romanischen Sprachen häufig nicht übersetzt werden. Bei der Verwendung von Modalpartikeln kann sich die modale Bedeutung mit der Gestaltung der Interaktion zwischen den Teilnehmern an der Kommunikation überschneiden. So erscheint in (37) die modale Bedeutung von wohl hinter der Funktion „versteckt“, dem Hörer Handlungsspielraum für eine Antwort oder Erklärung zu lassen:
37) Ich hab auch mehrmals angerufen, aber das Telefon geht ja hier wohl nicht.(DKB, 38)
Die Tatsache, dass das Telefon nicht geht, ist für den Sprecher durch mehrere erfolglose Versuche erwiesen, wohl hat in solchen Aussagesätzen oft eine ähnliche Funktion wie eine Frage: Es fordert den Hörer zum Antworten auf. In Fragen (sowohl in w-Fragesätzen als auch in Entscheidungsfragen) kommt die Modal-partikel wohl daher sehr häufig vor:
38) Was glaubst du wohl? (DKB, 102)
Oft enthalten Aussagen oder Ausrufe mit wohl in Bezug auf den Gesprächspartner eine negative Färbung (vgl. Thurmair 1989, 142), die jedoch durch die Verwendung der Modalpartikel abgeschwächt wird und ein wenig an Direktheit verliert:
39) Du spinnst wohl! (DKB, 73)
Da die Modalität ohnehin zurücktritt, ist es nicht verwunderlich, dass wohl bei Übersetzungen in romanische Sprachen auch weggelassen werden kann. In der Übersetzung des Satzes (37) wurde es im Italienischen mit evidentemente wiedergegeben. Der Sprecher nimmt ohne endgültige Sicherheit an, dass der Sachverhalt zutrifft, und verwendet ein Evidentialität ausdrückendes Adverb (Karl 2012, 84):
40) Ho anche chiamato parecchie volte, ma evidentemente il telefono qui non funziona. (IB, 32)
Ganz anders erfolgt die Wiedergabe der Sätze unter (41) (Karl 2012, 85). Im Kontext, der dem Beispiel vorangeht, wollen Personen aus der Kneipe aufbrechen und den schlafenden und vollkommen betrunkenen Martin liegen lassen:
41) „Was ist mit Martin?“
„Was soll mit dem schon sein, Chrissie?! Was glaubst du wohl?“ (DKB, 102)
42) „Che ne sarà di Martin?“
“ ← 26 | 27 → Che vuoi che gli succeda, Chrissie? Cosa potrà mai succedergli, secondo te?’ (IB, 82)
Die Tatsache, dass Martin etwas passieren könnte, wird aus dem ersten Satz noch einmal aufgenommen. Durch das mai wird die Unwahrscheinlichkeit des Sachverhalts verstärkt. Die durch wohl ausgedrückte persönliche Einstellung des Sprechers wird durch das idiomatische secondo te wiedergegeben, das sich ausdrücklich an den Gesprächspartner richtet und zur Interaktion auffordert.
3. Ein Kontinuum overter und coverter Modalisierung
Ausgehend von den vorgestellten Überlegungen möchte ich vorschlagen, ein Kontinuum von coverten und overten Ausdrucksmitteln anzunehmen, in dem sich die Ausdrucksmöglichkeiten der romanischen Sprachen und des Deutschen unterschiedlich situieren.

Graphik 2: Kontinuum coverter und overter Ausdrucksmittel von Modalität
An dem einen Ende (links) steht dabei das vollkommene Fehlen von Ausdrucksmitteln für modale Inhalte, die als Obligation oder Möglichkeit identifiziert werden können. Das andere Ende (rechts) wird von expliziten Modalitätsausdrücken, wie Modalverben und Modaladverbien, ausgemacht. Zwischen ← 27 | 28 → diesen beiden Extremen des vollkommen coverten bzw. overten Ausdrucks von Modalität gibt es eine Reihe von Übergängen, die im unteren Teil der Übersicht in der Mitte stehen.
Natürlich kann das „Verstecken“ der modalen Bedeutung hinter interaktionalen instruktionssemantischen Werten auch mit dem unterschiedlichen Grad der Grammatikalisierung der einzelnen Modalpartikeln zusammenhängen (vgl. Schoonjans / Feyaerts 2010). Das wäre aber ein Thema für einen anderen Beitrag.
Bibliographie
Korpora:
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CIP = Corpus di italiano parlato. http://www.digento.de/titel/102984.html
CIS = Corpus di italiano scritto http://dslo.unibo.it/coris_ita.html
CDP = Corpus do português. http://www.corpusdoportugues.org/
Frantext = Base Textuelle Frantext (http://www.frantext.fr/)
DKB = Regener, Sven (2010): Der kleine Bruder. Taschenbuchausgabe. München: Goldmann.
IB = Regener, Sven (2009): I Berlinesi. Übersetzung von Riccardo Cravero. Rom: Elliot Edizioni S.r.l.
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Thurmair, Maria (1989): Modalpartikeln und ihre Kombinationen. Tübingen: Niemeyer
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Wegener, Heide (1998): Zur Grammatikalisierung von Modalpartikeln. In: Barz, 37-55
Weydt, Harald (Hrsg.) (1977): Aspekte der Modalpartikeln: Studien zur deutschen Abtönung. Tübingen: Niemeyer
Weydt, Harald (Hrsg.) (1979): Die Partikeln der deutschen Sprache. Berlin: de Gruyter
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Univ.-Prof. Dr. Gerda Haßler
Institut für Romanistik
Universität Potsdam
Am Neuen Palais 10
D 14469 Potsdam
e-mail: hassler@uni-potsdam.de
http://www.uni-potsdam.de/romanistik/hassler/hassler/hassler.html
1 Zum Zusammenhang von Aspekt und Modus vgl. Abraham 1998, 2008, Abraham / Leiss 2008, Leiss 2008, 2009.
2 Zum Zusammenhang von Deixis und Modalität vgl. Haßler / Volkmann 2009, Volkmann 2009.
3 Zu polyfunktionalen Modalverben in germanischen Sprachen vgl. Abraham 1991, 2009, Abraham / Leiss 2009.
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ASPETTI SEMANTICI E PRAGMATICI DELLA COSTRUZIONE CAUSATIVA IN ITALIANO E IN TEDESCO*
Unter “Kausativität” ist ein Ursache-Wirkungs-Verhältnis (i.w.S.) zu verstehen, das an ein Verb oder eine Verbalkonstruktion gebunden ist. Eine Möglichkeit, dieses Konzept auszudrücken, ist die Verwendung der analytischen Kausativkonstruktion aus kausativem Funktionsverb und einem beliebigen Vollverb im Infinitiv: it. Devo far aggiustare il motorino; Non la lascia partire; dt. Er lässt mich nicht gehen. Auf der Grundlage einer Korpusanalyse beschreibe ich zunächst das Funktionsspektrum der Konstruktion, das insgesamt sechs verschiedene Kausativitätstypen umfasst. Dann betrachte ich die relative Frequenz der verschiedenen Kausativkonstruktionen sowie die Kombinationspräferenzen für bestimmte Verbkategorien des Infinitivs. Abschließend wird eine gemeinsame pragmatische Grundfunktion aller Bedeutungsvarianten postuliert. Insgesamt zeigt sich, dass sich hinter einer nachweisbaren formalen und funktionalen Konvergenz der beiden Sprachen einige Divergenzen v.a. beim konkreten Gebrauch der italienischen und deutschen Kausativkonstruktionen verbergen.
Con “causatività” si intende un rapporto di causa ed effetto (in senso lato) legato ad un verbo o una costruzione verbale. Per esprimere questo concetto sia l’italiano che il tedesco ricorrono, tra le altre opzioni, ad una costruzione causativa perifrastica composta da un verbo funzionale causativo e un qualsivoglia verbo pieno all’infinito: it. Devo far aggiustare il motorino; Non la lascia partire; ted. Er lässt mich nicht gehen. Sulla base dell’analisi di un corpus descriverò dapprima il raggio semantico-funzionale di questa costruzione, individuando complessivamente sei diversi tipi di causatività. In seguito, mi occuperò della frequenza relativa delle diverse costruzioni causative nonché delle preferenze combinatorie a favore di determinate categorie verbali dell’inifinito. Infine, ipotizzerò una funzione pragmatica generale della costruzione causativa valida per tutte le accezioni. Emergerà con chiarezza che dietro la dimostrata convergenza formale e funzionale complessiva delle due lingue, alcune divergenze si celano nell’uso concreto delle costruzioni causative italiane e tedesche.
1. Il concetto di causatività
Per definire il concetto di causatività partiamo da ciò che – riprendendo l’approccio di Ruprecht von Waldenfels (2012, 14)1 – possiamo chiamare la situazione causativa. Essa è caratterizzata dalla sua natura composita, in cui due ← 31 | 32 → (micro-)situazioni (ms1 e ms2)unite in un rapporto di causa ed effetto concorrono a formare una macrosituazione causativa (MS):ms1 è la microsituazione “causante”, mentre ms2 la microsituazione “risultante”2:
1) Il sole scioglie il ghiaccio. | → macrosituazione causativa |
1a) Il sole splende. | → microsituazione “causante” |
1b) Il ghiaccio si scioglie. | → microsituazione “risultante” |
Mentre il concetto di “causazione” si riferisce a qualsiasi tipo di relazione causaeffetto, indipendentemente dalla forma linguistica con cui viene espressa (v. 2a e 2b), il termine “causatività” è specifico dei verbi e delle costruzioni verbali che esprimono una macrosituazione causativa (v. 2c e 2d).
2a) Il sole splende e il ghiaccio si scioglie. | → causazione implicita |
2b) Siccome il sole splende, il ghiaccio si scioglie. | → causazione esplicita |
2c) Il sole fa sciogliere il ghiaccio. | → costruzione verbale causativa |
2d) Il sole scioglie il ghiaccio. | → verbo causativo |
Il verbo causativo (oppure la costruzione verbale causativa) si definisce tale in opposizione al corrispondente verbo non-causativo. Il rapporto semantico tra causatività e non-causatività spesso trova corrispondenza in una somiglianza formale, come dimostrano gli esempi nella tabella 1.
Le tipologie formali messe in campo dalle due lingue per disporre di verbi corrispondenti causativi e non-causativi coincidono in larga misura, senza essere del tutto identiche3. ← 32 | 33 →
Tabella 1: Verbi e costruzioni verbali causativi e non-causativi italiani e tedeschi a confronto6
Details
- Pages
- 878
- ISBN (PDF)
- 9783653032017
- ISBN (MOBI)
- 9783653996036
- ISBN (ePUB)
- 9783653996043
- ISBN (Hardcover)
- 9783631789209
- DOI
- 10.3726/978-3-653-03201-7
- Language
- German
- Publication date
- 2015 (January)
- Keywords
- Kontrastive Linguistik Translationswissenschaft Sprachtypologie Abstraktionsstufen
- Published
- Frankfurt am Main, Berlin, Bern, Bruxelles, New York, Oxford, Wien, 2015. 878 S., 11 s/w Abb., 40 Tab., 19 Graf.
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